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Compte rendu du conseil extraordinaire des ministres du lundi 21 mars 2016

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Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le lundi 21 mars 2016, en séance extraordinaire, de 11 H 00 mn à 14 H 30 mn, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres.

Il a délibéré sur le projet de loi rectificative de la loi de finances pour l’exécution du budget de l’Etat, gestion 2016.

Ce projet de loi est élaboré pour prendre en compte trois impératifs.

Le premier impératif est lié à la nouvelle configuration du Gouvernement, qui induit une modification de la loi de finances initiale afin de l’adapter à l’architecture du Gouvernement.

Le deuxième porte sur les préoccupations relatives à la mise en œuvre des actions prioritaires du Gouvernement, notamment la prise en compte des questions sécuritaires et des Mesures d’urgence dans les secteurs de la santé, de l’éducation, de l’eau et de l’emploi des jeunes.

Le troisième concerne les engagements vis-à-vis des partenaires sociaux, pris par le Gouvernement de la transition et qui n’avaient pas été budgétisés. Il en est de même pour les engagements financiers de l’Etat vis-à-vis de la filière coton qui n’avaient pas fait l’objet de crédit budgétaire.

Pour faire face à ces exigences, le Gouvernement a proposé de nouvelles ouvertures de ressources internes à hauteur de cinquante-huit milliards neuf cent cinquante millions (58 950 000 000) francs CFA.

Sur la base de ces nouvelles mesures, le Conseil a instruit les régies de recettes de redoubler d’efforts pour atteindre ces objectifs.

Le Conseil a en outre décidé de la rationalisation des charges de fonctionnement à l’effet de dégager des économies et de la suppression de certains investissements qui étaient prévus dans la loi de finances initiale.

Le projet de loi de finances rectificative s’établit en ressources à mille six cent dix-sept milliards cinq cent vingt-six millions dix-huit mille (1 617 526 018 000) francs CFA contre mille cinq cent quatre-vingt-trois milliards cinq cent-soixante-seize millions dix-huit mille (1 583 576 018 000) francs CFA initialement, soit une hausse de 2,14%.

Quant aux charges, elles s’établissent à mille neuf cent dix-neuf milliards neuf cent trente-six millions deux cent cinq mille        (1 919 936 205 000) francs CFA contre mille huit cent vingt-trois milliards cent trente-trois millions quatre cent soixante-dix-sept mille (1 823 133 477 000) francs CFA initialement, soit une hausse de 5,31%.

Au terme des échanges, le Gouvernement a adopté le projet de loi de finances rectificative qui dégage un besoin de financement de trois cent deux milliards quatre cent dix millions cent quatre-vingt-sept mille (302 410 187 000) francs CFA.

Le Conseil a marqué son accord pour la transmission du projet de loi à l’Assemblée nationale.

Le Ministre de la Communication et des Relations avec le Parlement,

Porte-parole du gouvernement

Rémis Fulgance DANDJINOU

Déclaration du Ministre de l’Eau et de l’Assainissement à l’occasion de la commémoration de la journée mondiale de l’eau : 22 Mars 2016

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Thème : Eau et Emploi

Le Burkina Faso, à l’instar des autres membres de la communauté internationale, commémore le 22 Mars de chaque année, la Journée Mondiale de l’Eau. Cette année, la célébration a lieu dans un contexte particulier aussi bien au plan national qu’international. En décembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté les objectifs de développement durable (ODD) à la suite des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) arrivés à terme en fin 2015. Sur les 17 objectifs de développement durable, au moins 5 sont consacrés à l’eau et le but ultime, est l’accès universel aux services d’eau potable. Au niveau national, grâce à la mobilisation et au plaidoyer des acteurs du secteur, le Conseil National de Transition (CNT) a adopté le 05 Novembre 2015, la loi portant droit d’accès à l’eau et l’assainissement ; cet acte fort du législateur, marque la volonté du Burkina Faso de créer les conditions favorables à la réalisation de l’accès universel, d’ici 2030.

L’analyse des performances du secteur de l’eau, montre des progrès significatifs dans l’approvisionnement en eau potable des populations urbaines (taux d’accès de 89%) et peu satisfaisants en milieu rural (67%). Ces chiffres traduisent les efforts consentis par l’Etat et les populations, 2AA avec le soutien des partenaires techniques et financiers, le secteur privé et la société civile tout au long de la mise en œuvre du programme national d’approvisionnement en eau potable et assainissement.

Au niveau de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau, les principaux résultats atteints par notre pays sont le suivants : (i) l’état des lieux des ressources en eau et de la définition de leur cadre de gestion, réalisé en mai 2001, (ii) l’adoption de la Loi d’orientation relative à la gestion de l’eau, adoptée par le parlement en février 2001, (iii) l’élaboration et la mise en œuvre du Plan d’Action de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PAGIRE), adopté par le Gouvernement en mars 2003, (iv) la mise en place du Conseil National de l’Eau en tant qu’organe national pour une gestion concertée de l’eau associant l’Etat, les Collectivités territoriales, le secteur privé et la société civile, (v) la définition de la nature juridique, la création et la mise en œuvre effective des cinq (5) agences de l’eau du pays sous forme de groupements d’intérêt public (GIP) entre le Gouvernement et les collectivités territoriales concernées. Cependant, il subsiste d’énormes disparités entre les régions, les provinces et les communes : certaines communes ont des taux d’accès de plus de 100% tandis que d’autres sont en dessous de 30%.Le financement des investissements est assuré dans une large proportion parles partenaires extérieurs. Les principaux défis du secteur de l’eau sont liés à : (i) la connaissance et le suivi de la qualité des ressources en eau, (ii) le renouvellement des investissements, (iii) le recouvrement des coûts en milieu rural, (iv) la pollution par les activités minières et agricoles.

Pour répondre à ces nombreux défis, le secteur de l’eau se doit d’opérer un certain nombre de mutations tenant compte des aspirations profondes du peuple burkinabè, notamment sa frange jeune et pauvre vivant dans les campagnes et les quartiers non lotis ou périphériques des villes du pays. Le droit d’accès à l’eau potable et l’assainissement doit être une réalité pour tous les burkinabè, sans exclusive. Le pays doit également asseoir les bases d’une gestion saine, consensuelle et prospective des ressources en eau, afin de ne pas compromettre les écosystèmes et droits des générations futures. La politique nationale de l’eau se fondera sur des principes directeurs alignés avec les valeurs de la société burkinabè et les exigences de préservation de l’environnement et de la santé des populations.

C’est pourquoi, SEM le Président du Faso accorde une très haute priorité à l’eau dans son Programme présidentiel. En effet, ce programme ambitionne de fournir l’eau potable à tous les Burkinabè d’ici 2020, à travers une campagne nationale « zéro corvée d’eau » dont le lancement est prévu le 31 Mars 2016.

Le thème de la journée mondiale de cette année « Eau et Emploi » a été retenue retenu par la communauté internationale et le Burkina Faso, afin de louer et reconnaitre les efforts et le mérite des hommes et des femmes qui se battent au quotidien, afin que l’accès à l’eau soit une réalité pour les populations des villes et villages du pays. Selon une étude réalisée par les Nations Unies, 3/4 des emplois dans le monde dépendent de l’eau et il existe une corrélation positive entre les investissements du secteur de l’eau et la croissance économique. Au Burkina Faso, l’eau est un facteur important dans la création d’emplois directs liés à la mobilisation et la gestion de la ressource, et indirects du fait des activités économiques utilisant l’eau (agriculture, élevage, pêche, énergie, industries, santé, etc.). Une analyse de l’évolution de la nomenclature des métiers de l’eau montre que jadis, affaire des ingénieurs et techniciens, le secteur de l’eau est de nos jours, animé par des compétences diverses : sociologues, économistes, juristes, communicateurs et journalistes, manageurs, chercheurs, formateurs, etc.

Le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement, en collaboration avec d’autres départements ministériels, s’attelle à l’évaluation des opportunités d’emplois pour les 15 prochaines années, afin de mettre en place des mécanismes pour attirer davantage de jeunes diplômés et de femmes de tous les niveaux de métier.

Afin de permettre à chaque catégorie d’acteurs de jouer efficacement son rôle, des concertations seront entreprises dans les prochaines semaines avec les professionnels du secteur (Ordre des ingénieurs du Burkina, organisations professionnelles du secteur tels que les syndicats, les associations des privés, les réseaux des jeunes professionnels, etc.). Il s’agira de réfléchir à la mise en place d’un cadre normatif, notamment la codification des différents métiers du secteur à travers l’adoption de règles de déontologie et des prescriptions techniques applicables par tous.

A toutes ces femmes et tous ces hommes qui s’activent directement et indirectement pour assurer la vitalité du secteur de l’eau, je voudrais au nom du Chef du gouvernement et de son SEM le Président du Faso, vous exprimer toute ma reconnaissance ainsi que celle de la nation toute entière. Certes les défis sont énormes et les moyens financiers limités, mais le Burkina Faso dispose de ressources humaines qualifiées dont le professionnalisme et l’engagement nous permettront de cheminer progressivement vers l’accès universel.

Enfin, je renouvelle ma gratitude aux partenaires techniques et financiers pour le soutien permanent et conséquent apporté de façon multiforme et à divers niveaux au secteur de l’eau.

A toutes et à tous, je souhaite une bonne commémoration de la Journée Mondiale de l’Eau.

Niouga Ambroise OUEDRAOGO

Chevalier de l’Ordre du Mérite

Mali : Fusillade à ACI 2000, un quartier huppé de Bamako depuis 19h30

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« Des échanges de tirs ont éclaté ce lundi soir vers 19h30 (heure locale) dans la capitale malienne », d’après une alerte RFI. Selon la même source, « des hommes armés affrontent les forces de sécurité dans le quartier huppé d’ACI 2000, désormais bouclé ».