Depuis l’instauration du couvre-feu samedi dernier, Ouagadougou a l’air d’une ville fantôme la nuit tombée. Une mesure prise par les autorités pour limiter l’infection au Covid-19. Le couvre-feu est respecté dans la capitale, malgré quelques difficultés.
Le prix des cache-nez et masques grimpe chaque jour à cause de la propagation de la maladie à coronavirus. C’est avec des grincements de dents, que les burkinabè s’en procurent au prix de 300 ou de 1000 FCFA.