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Dialogue avec le Gouvernement – Invité: Jean Martin COULIBALY, Ministre de l’Education nationale et de l’alphabétisation – Partie III

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Burkina : Attaque en cours à Intangom dans le Sahel

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Les positions de l’Armée burkinabè au poste de Police frontalière de Intangom – situé à 4 km de la frontière du Mali, dans la province de l’Oudalan – ont été attaquées dans la nuit du 11 au 12 octobre 2016. Selon les informations reçues de source sécuritaire par nos équipes de la RTB 2 Sahel, l’attaque est toujours en cours.

Les assaillants, non encore identifiés, auraient pris position au poste de Police frontalière de Intangom, gardé par des militaires depuis juin 2016. Selon les informations, au moins 3 d’entre eux ont pu échapper aux assaillants lourdement armés. Aucun bilan de l’attaque n’est disponible pour l’instant.

Des éléments de l’Armée, venus en renfort de Markoye et Tinakoff, essayent de déloger les assaillants en ce moment.

Le poste de Police frontalière de Intangom avait déjà été attaqué, par des individus non-identifiés, dans la nuit du 31 mai au 1er juin 2016. 3 policiers y avaient péri. Après l’attaque, l’Armée avait relayé la Police à ce poste frontalier.

RTB Multimédias

FBF : trois candidats, un fauteuil

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Ils sont finalement trois à avoir déposé à temps le 11 octobre 2016 à 15h30 mn leurs dossiers de candidature pour le poste de la présidence de la Fédération Burkinabè de Football (FBF). Il s’agit du président sortant Sita SANGARE de son ex SG, Bertrand KABORE et surtout d’Amado TRAORE président du Rail Club du Kadiogo (RCK).

Siège de la FBF
Siège de la FBF

Six annoncés, ce sont finalement trois candidats qui ont déposé leur dossier de candidature pour briguer la présidence de la Fédération Burkinabè de Football (FBF). Si en 2012, le candidat sortant Sita SANGARE était seul face à lui-même, cette année ses concurrents viennent de son propre écurie. Il s’agit de son ex secrétaire général Bertrand KABORE mais également son ex conseiller Amado TRAORE le patron du rail Club du Kadiogo (RCK). Cette dernière candidature semble être un gros caillou dans les bottes du Col Sita SANGARE. D’ores et déjà deux candidats précédemment annoncés se sont ralliés à l’homme d’affaire.

amado-et-son-equipe

C’est Abdoul Aziz TIEMTORE qui a déposé les dossiers de Bertrand KABORE. Pour lui « son candidat est prêt à relever les défis qui attendent le football burkinabè. Par ce geste le candidat est définitivement dans la course pour occuper le poste de Président de la FBF » a t-il laissé entendre.
La candidature de Bertrand KABORE a été suivie par celle du président sortant Sita SANGARE. Une candidature portée par Boureima BALIMA pressenti au poste de SG en cas de victoire. Après avoir déposé, ce dernier espère que les électeurs feront le choix en se basant « sur le programme du candidat.» « Il y a des acquis mais aussi des faiblesses qu’il faut corriger » a-t-il poursuivi.

Amado TRAORE
Amado TRAORE

La boucle a été bouclée par Amado TRAORE, qui himself est venu assister au dépôt de son dossier. A la question de savoir pourquoi ce choix tardif d’annoncer sa candidature répond. « Si nous avons réagi tardivement, ce n’était pas notre objectif mais nous avons senti qu’il fallait fédérer » il avance à cet effet « que c’est dans cet esprit que Mory Sanou et Kassoum Ouédraogo dit Zico ont rejoint son équipe pour former une coalition. Nous voulons aussi amener les autres candidats à travailler pour le football », a-t-il poursuivi.

C'est Boureima Balima qui a déposé le dossier de Sita Sangaré
C’est Boureima Balima qui a déposé le dossier de Sita Sangaré

La validation des dossiers sera assurée par une commission présidée par l’ex président de la FBF Souley MOHAMED. L’élection proprement dite aura lieu le 10 novembre prochain à Koudougou.

Y. Alain Didier COMPAORE

La nouvelle Représentante résidente de l’UNICEF au Burkina chez le Président du Faso : Les domaines de l’éducation et la nutrition comme priorités

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La nouvelle Représentante résidente de l’UNICEF au Burkina Faso, Dr Anne VINCENT, a été reçue en audience ce mardi 11 octobre 2016 dans la matinée, par S.E.M. Roch Marc Christian KABORE.
Selon Madame VINCENT, il était nécessaire de rendre une visite de courtoisie au Président du Faso, Roch Marc Christian KABORE, visite qui constitue « un acte d’engagement ».

La Représentante résidente a laissé entendre, à sa sortie d’audience que les discussions avec le Président du Faso ont porté sur deux sujets, qu’elle a qualifiés de piliers du développement : « la nutrition et l’éducation ».

« Il est absolument indispensable que nous nous battions contre la problématique de la malnutrition de façon à donner aux enfants toutes leurs chances de démarrer dans la vie avec un potentiel cérébral, intellectuel optimal », a-t-elle-déclaré. Dr Anne VINCENT a expliqué que la malnutrition chronique affecte de façon irréversible le développement cérébral, d’où la nécessité de la combattre.

Le deuxième domaine évoqué lors des échanges est l’éducation. La Représentante résidente de l’UNICEF au Burkina Faso dit concevoir l’éducation comme « un continuum d’éducation entre le préscolaire et le supérieur ou le secondaire technique ou général ; c’est-à-dire tout ce cheminement que l’on doit faire avec les enfants, les accompagner jusqu’à ce qu’ils aient un travail dans la société ».

Par ailleurs, elle a noté la nécessité de repenser le système éducatif de façon générale. L’éducation doit répondre aux besoins de développement du pays et s’adapter au marché du travail, a-t-elle conclu.

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso

36ème Journée mondiale de l’alimentation : Adapter l’agriculture et l’alimentation au changement climatique

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Le monde entier commémore ce dimanche 16 octobre 2016, la 36ème Journée mondiale de l’alimentation (JMA), sous le thème « Le climat change, l’agriculture et l’alimentation aussi ». Au Burkina Faso où les activités commémoratives de cette journée se tiendront du 14 au 16 octobre, à la Maison du peuple, il est prévu une cérémonie officielle, suivie de communications, des expositions-ventes de produits agricoles et agroalimentaires et des remises de prix.

Le choix du thème de cette année s’explique par le fait que la sécurité alimentaire est l’une des questions principales liées au changement climatique.

En effet, les plus pauvres du monde, pour la plupart des agriculteurs, des pêcheurs et des éleveurs, sont le plus fortement touchés par la hausse des températures et la fréquence croissante des catastrophes liées au climat.

Or la célébration de la JMA 2016 intervient dans un contexte marqué par des pluies de plus en plus irrégulières aussi bien dans l’espace que dans le temps, avec pour corolaires des sécheresses, des inondations et des vents parfois violents.  Et le Burkina Faso, en tant que pays sahélien avec une faible pluviométrie, est fortement menacé par le  dérèglement climatique. Le pays a connu une longue histoire de lutte contre la sécheresse. Déjà dans les années 70, la sécheresse a occasionné des restrictions ou l’absence de nourriture et de pâturage, provoquant d’importantes pertes en vies humaines et animales. Ce qui, depuis lors, a amené l’Etat et ses partenaires à faire de la quête de la sécurité alimentaire une préoccupation permanente. Ainsi, d’énormes efforts ont été déployés par les gouvernements successifs, en vue d’assurer une alimentation suffisante aux populations. Ces efforts ont permis l’augmentation de la production agricole qui, aujourd’hui, garantit une disponibilité alimentaire. Mais cette situation reste précaire face aux aléas climatiques de ces dernières années.

S’adapter aux changements climatiques

La population mondiale connaît une croissance continue et devrait atteindre 9,6 milliards de personnes d’ici à 2050. Pour satisfaire les besoins alimentaires d’un tel monde, les techniques agricoles et les systèmes alimentaires devront être revus.

D’où l’intérêt du thème : « Le climat change, l’agriculture et l’alimentation aussi », dont l’objectif est d’attirer l’attention des populations sur la nécessité  d’adapter à la fois l’agriculture et l’alimentation au changement climatique et  de réduire l’émission des gaz à effet de serre. En clair,  il s’agit  d’adopter des pratiques culturales plus productifs et plus durables et des habitudes alimentaires résilientes et respectueuses de l’environnement. Toute chose qui revient à réduire les pertes alimentaires pendant les transformations des produits agricoles, à travers un certain nombre d’initiatives, notamment en améliorant la récolte, le stockage, le conditionnement, le transport, les infrastructures, le fonctionnement des marchés, ainsi que les cadres institutionnels et juridiques.

En renforçant la résilience des exploitants agricoles, il est possible de garantir la sécurité alimentaire pour les populations qui souffrent de plus en plus de la faim dans le monde et de réduire les émissions des gaz à effet de serre.

Assurer la veille contre l’insécurité alimentaire

Le Gouvernement burkinabè maintient la veille  contre toute menace à la sécurité alimentaire et nutritionnelle. Pour ce faire, il a mis en place un Comité de prévision de la sécurité alimentaire (CPSA), dont le rôle est d’analyser et de valider les informations collectées et traitées par les systèmes d’informations sous-sectoriels, dans le but d’élaborer un plan de riposte aux situations à risque. Après la campagne agricole 2015-2016,  marquée par de modestes performances, le Gouvernement a mobilisé la somme de trente milliards  (30 000 000 000) de francs CFA pour financer le plan de soutien adopté.  Il a notamment   procédé à des ventes à prix social et à la distribution gratuite de vivres aux personnes  vulnérables.  Le plan  de riposte prévoit  également la subvention d’intrants agricoles, les transferts monétaires et des appuis nutritionnels aux enfants de moins de 5 ans et aux femmes enceintes ou allaitantes.

La situation de la campagne agricole en cours au Burkina Faso

La campagne agricole 2016-2017 se déroule dans des conditions satisfaisantes qui pourront garantir une alimentation suffisante et équilibrée aux personnes vivant au Burkina Faso. Sur l’ensemble du territoire national,   le niveau d’exécution des opérations culturales, le  stade de développement et  l’état phytosanitaire des cultures se présentent bien.

Mieux, la situation alimentaire et nutritionnelle des ménages, au 20 septembre 2016,  reste  assez bonne avec l’apparition des produits issus des premières récoltes du niébé, de l’igname, de l’arachide et du maïs.

Par ailleurs, les marchés restent bien approvisionnés et les prix sont en général stables et même quelquefois en légère baisse sur certains marchés. Ce qui permet d’améliorer l’accessibilité  des ménages aux produits agricoles et agroalimentaires.

Ces résultats sont le fruit des efforts du Gouvernement qui accompagne les producteurs agricoles par l’octroi d’intrants, de  matériels agricoles et d’animaux de traits. Cette année, l’appui gouvernemental en faveur du monde agricole  est chiffré à 13 milliards de francs CFA. Les performances de l’agriculture et la disponibilité alimentaire sont également imputables au dévouement des agents d’agriculture qui s’emploient à enseigner aux producteurs les méthodes culturales qui minimisent les effets du changement climatique. Il en est ainsi pour les bassins de collecte d’eau qui viennent en appui aux stratégies paysannes d’adaptations  telles que le  zaï, les demi-lunes et les  cordons pierreux.  A cela il faut ajouter l’action des chercheurs agricoles, qui permet de mettre à la disposition des producteurs des semences améliorées, réduisant ainsi les conséquences du manque d’eau sur les spéculations en fin de saison pluvieuse.

La 36ème JMA est donc commémoré au Burkina Faso sous de bons auspices, avec la perspective d’abondantes récoltes.

Le ministère de l’Agriculture et des aménagements hydrauliques

JT de 20h du 11 octobre 2016

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JT de 19h du 11 octobre 2016

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