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Application de l’IUTS sur les primes et indemnités : les syndicats maintiennent leurs mots d’ordre

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Le porte-parole du Mouvement syndical, par ailleurs SG de CGT-B, Bassolma Bazié

Les syndicats en Mouvement contre l’application de l’Impôt Unique sur les Traitements et Salaires (IUTS) sur les primes et indemnités des travailleurs du public ont maintenu les différents mots d’ordre lancés le 26 février 2020. En conférence de presse ce mardi, ils ont entrepris une batterie d’actions, telles une marche-meeting prévue le 7 mars 2020 sur l’ensemble du territoire. Elle sera suivie d’une grève générale de quatre jours, allant du 16 au 20 mars 2020. Une autre marche-meeting nationale aura lieu le 17 mars 2020.

Face à la presse, Bassolma Bazié, secrétaire général de la CGT-B et porte-parole du mouvement syndical a confirmé le maintien des différentes activités entamées pour exiger du gouvernement le non-prélèvement de l’IUTS sur les primes et indemnités des travailleurs du public. Pour lui, ces actions visent entre autres à «exiger du gouvernement l’arrêt de la baisse du pouvoir d’achat, l’arrêt des atteintes aux libertés démocratiques et syndicales, l’arrêt du pillage des ressources nationales, la garantie du droit à la sécurité des populations, le respect et la mise en œuvre des différents engagements pris par le gouvernement vis-à-vis des syndicats des travailleurs».

Cette plateforme est juste et appropriée, précise Bassolma Bazié, parce qu’au-delà de l’IUTS, le « pouvoir du MPP cherche à reléguer au second plan les questions essentielles en lien étroit avec la faillite de sa gestion ».

A l’en croire, pendant que l’État veut « pressurer » les pauvres travailleurs, il se montre complaisant envers les acteurs des secteurs à fort potentiel fiscal tels que le foncier, l’or, les télécommunications, les banques. Bassolma a aussi affirmé que le gouvernement ferme les yeux sur des tas de malversations dans la gestion des ressources publiques.

À titre illustratif, il relève entre autres, les restes à recouvrer que les entreprises doivent à la Direction générale des Impôts (DGI) qui s’élèvent à plus de 400 milliards de F CFA. En sus, il a noté que plus de 600 milliards de F CFA de détournements (pertes) sont mises à nu par les enquêtes parlementaires sur le foncier et dans le secteur minier en 2016. Avant de poursuivre que les évasions et les exonérations fiscales « injustes »sont opérées au niveau des sociétés minières, qui en plus, ne paient pas d’impôts à la hauteur de leurs productions. Le tout assorti des «traitements spéciaux que les membres du gouvernement se sont accordés en violation du décret fixant leurs émoluments», a-t-il soutenu.

Toutes ces multiples malversations sont pour Bassolma Bazié « autant de pistes pour renflouer les caisses de l’État. Aussi, faudrait-il que lesdites ressources soient gérées de manière vertueuse au profit des travailleurs ».

Bènonè Ib Der Bienvenue Médah

JT de 13h du 03 mars 2020

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6è édition des JCFA : les femmes cinéastes se penchent sur les violences à leur égard

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Le cinéma fait par des femmes se donne à voir aux Journées Cinématographiques de la Femme Africaine de l’image (JCFA). Pendant 6 jours, le regard singulier des femmes cinéastes sur des sujets qui les inspirent, va conduire à des réflexions et aussi susciter des émotions à l’endroit des cinéphiles. Des long-métrages, des courts-métrages fiction comme documentaire sont au programme pour surtout interpeller la société africaine sur la réalité des violences faites aux femmes.

C’est en cela que la 6è édition des JCFA a pour thème « Cinéma, genre et lutte contre les violences faites aux femmes ». Y a-t-il besoin de rappeler que les femmes subissent des viols, le lévirat, la dépossession des biens par la famille du mari quand celui-ci décède…? Les courts-métrages de la réalisatrice Fanta Régina Nacro projetés à la cérémonie d’ouverture abordent avec beaucoup de poigne la violence souvent banalisée sur les femmes. A l’occasion, plus d’une trentaine de films seront diffusés à l’ISIS.

Cette édition des JCFA sonne comme une sensibilisation massive sur la condition féminine. Une conférence sur le thème animé par l’enseignante chercheuse Valentine Palm/ Sanou ainsi qu’un panel animé par des cinéastes formuleront des mots sur les maux des femmes. A l’ouverture du festival, le comité d’organisation a reconnu les mérites de la doyenne Marie Jeanne Aouoba/ Kanyala en lui décernant un trophée « Sarraounia ».  Monteuse chevronnée, elle a fait le montage de films à succès comme Buud-Yam du réalisateur Gaston Kaboré.

Marie Laurentine Bayala

Ouahigouya : Lassané Sawadogo, le vieil homme qui enseigne le conte à l’école

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Jadis au cœur des rencontres nocturnes, les contes sont devenus aujourd’hui un genre littéraire sans passion. Les temps passent mais cela n’enlève en rien l’adulation de Lassané SAWADOGO pour le conte. Il serait le seul conteur de Ouahigouya. Le vieil homme enseigne même les contes au complexe scolaire Jean Piaget. Zoom sur les cours de contes avec le septuagénaire. Reportage : Moussa KI

 

 

JT de 13h du 02 mars 2020

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Dédougou: conférence publique sur le rôle de la culture contre l’extrémisme violent

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La culture, une valeur sûre dans la lutte contre l’extrémisme violent. Le ministère en charge de la culture a initié une tournée dans les 13 régions du Burkina afin d’expliquer l’importance des valeurs culturelles et de la cohésion sociale dans le combat contre le terrorisme. Ces tournées qui se déclinent sous forme de conférences publiques, ont pour objectif de diffuser les résultats du colloque sur l’extrémisme violent tenu en novembre dernier à Dori. L’étape de la région de la boucle du Mouhoun s’est tenue samedi dernier à Dédougou. Hélène SEBOGO pour les précisions.

 

Région du Nord: lancement des travaux de réfection de la route Ouahigouya-Gourcy

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Photo d'illustration

Fin de calvaire pour les usagers de la route Ouahigouya-Gourcy dans 11 mois. Longue de 45 kilomètres, la route fortement dégradée sera remise en état. Le lancement des travaux est prévu ce samedi à Ouahigouya. A la veille, nous constatons l’état du tronçon. C’est dans ce reportage de Karim BIKIENGA.

 

Stade du 4 août : 10 milliards de FCFA pour normaliser le temple du football à Ouagadougou

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Le ministère des Sports et des Loisirs a fait le bilan de ses activités de l’année 2019 et décliné son programme 2020. Si le bilan de la saison est jugé satisfaisant malgré des insuffisances, les perspectives pour 2020 sont encourageantes. La normalisation des stades du 4-août de Ouagadougou et Sangoulé Lamizana de Bobo Dioulasso figurent parmi les projets à réaliser cette année.

Le stade régional de Tenkodogo et les cinq plateaux omnisports de Ouagadougou, de l’Université de Koudougou, du Lycée Ouezzin Coulibaly de Bobo Dioulasso, de Ouahigouya sont à mettre au compte des réalisations 2019 du département des sports. A cela s’ajoute la réalisation de deux réseaux d’adduction d’eau potable et l’organisation de travaux d’assainissement aux centres de sport et de loisir de proximité de Wayalghin, de Yéguéré ainsi que  le terrain du stade municipal de Koudougou. Selon le ministre Azoupiou,  un projet d’aménagement de 350 terrains de proximité sur tout le territoire national, dont 13 à Ouagadougou et 7 à Bobo Dioulasso, a été mis en place.

Pour ce qui concerne la problématique des infrastructures en souffrance, une réflexion a abouti en 2019 à l’acquisition de 17 normes internationales.  D’un coût de 5 millions de FCFA, ces normes sont désormais une référence pour la réalisation d’infrastructures de qualité et adaptées à la pratique.

Les chantiers de 2020

Le plus grand chantier au ministère des sports et des loisirs reste  la mise aux normes internationales du stade du 4-Août de Ouagadougou et du stade Aboubacar Sangoulé Lamizana de Bobo-Dioulasso. Le coût total de réalisation des travaux du stade du 4-août est estimé à 10 milliards de FCFA avec une réhabilitation expresse de 4 milliards de FCFA. Les travaux vont porter sur la fixation des sièges, la modernisation des entrées, la réfections des vestiaires et bien d’autres commodités afin de rendre le stade opérationnel pour les éliminatoires de la Coupe du monde Qatar 2022.  Quant au stade Sangoulé Lamizana, une étude est en cours,  en plus de sa rénovation. La piste d’athlétisme en mauvais état sera également refaite.

Les perspectives 

En vue de préparer la relève sportive, il est envisagé en 2020  l’ouverture d’écoles dans 9 régions en plus de Ouagadougou et Bobo-Dioulasso. Un accent sera mis sur la promotion de l’entrepreneuriat dans le domaine des sports et des loisirs.  L’opérationnalisation du centre national médico-sportif, la mise en œuvre d’une politique cohérente de la relève sportive, l’accroissement des infrastructures sportives et de loisirs de qualité, l’amélioration du fonctionnement des structures sportives, figurent parmi les projets à réaliser en 2020. Toute chose qui va concourir à l’atteinte des objectifs du  PNDES dans le domaine du sport et des loisirs.

Y. Alain Didier Compaoré