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« L’IUTS sera appliqué dès fin janvier sur les indemnités « : Lassané Kaboré, MINEFID

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Le point de presse du gouvernement tenu ce 9 janvier 2020 n’a pas occulté les questions d’actualité. Les ministres Lassané Kaboré en charge de l’Economie, Clémence Yaka, déléguée au budget et Remis Dandjinou, en charge de la Communication ont tous donné des éclairages dans leurs domaines.

Concernant la question de l’IUTS sur les indemnités qui divise syndicats et gouvernement, le ministre de l’Economie, des finances et du Développement a été clair : « le prélèvement de l’IUTS sur les indemnités rentre en vigueur à partir de la fin janvier 2020« . Il ajoute « Nous ne pouvons pas nous attendre à des soutiens extérieurs pour ce qui est des questions de souveraineté. Il nous appartient de faire des efforts pour faire face aux questions sécuritaires« .

Les mesures à apporter 

Pour ce faire et toujours selon l’argentier du Faso, d’autres actions et non des moindres  pour améliorer la mobilisation des ressources propres seront consenties.

On peut noter l’augmentation du taux de la taxe sur les tabacs, les cigares, les cigarettes et les cigarillos. Il sera question également des prélèvements à la source sur les importations et les ventes de biens et le rehaussement des seuils d’exonération de l’IUTS sur les indemnités qui passent de 50 000 à 75 000 FCFA pour l’indemnité de logement, de 30 000 à 50 000 FCFA pour l’indemnité de fonction et de 20 000 à 30 000 FCFA pour l’indemnité de transport.

A cela s’ajoutent entre autres le renforcement des capacités des corps de contrôle en matière de lutte contre la corruption, la fraude et le faux, ainsi que la dynamisation des inspections techniques et des conseils de discipline, la réduction du train de vie de l’État par l’instauration de bonnes pratiques dans la gestion du patrimoine de l’Etat, la dynamisation des économies locales et la réduction des disparités régionales, à travers l’aménagement efficace du territoire et le transfert effectif des compétences et des ressources conséquentes aux collectivités territoriales.

L’engin explosif du secteur 38

En ce qui est l’explosion à l’école franco-arabe qui a semé la panique dans le secteur 38 de Ouagadougou le mercredi 8 janvier, le ministre porte parole du gouvernement Remis Dandjinou a donné la version du gouvernement. « Il ne s’agissait pas d’une grenade mais plutôt d’un simple engin explosif » dit-il. « Parce que » poursuit le ministre « dans le cas d’une grenade, selon les spécialistes, l’enfant qui l’avait en main ne serait plus en vie« . Il a aussi laissé entendre que les Chefs d’Etats du G5 Sahel parleront d’une seule voix au sommet de Pô sur la sécurité au sahel.

Y. Alain Didier Compaoré

 

Budget national 2020 : 2 233 milliards de FCFA en recettes et 2 519 milliards de FCFA en dépenses

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Le gouvernement a tenu sa traditionnelle conférence de presse ce jeudi 9 janvier 2020 à Ouagadougou. Un point de presse qui a fait la part belle au budget de l’Etat, exercice 2020. Il se chiffre à 2 233 milliards de FCFA en recettes et 2 519 milliards de FCFA en dépenses. Un budget qui respecte les normes précises en matière de gestion budgétaire, selon les conférenciers.

C’est le tout premier point de presse de l’année 2020 pour le gouvernement, et c’est le budget de l’Etat, exercice 2020, qui est le plat de résistance avec les hommes de média. Entouré de ses plus proches collaborateurs, le ministre Lassané Kaboré de l’Economie, des Finances et du développement a décortiqué le budget de l’année.

Ainsi, pour cette année 2020, le budget de l’État dans son exercice voté par l’Assemblée nationale le 5 décembre 2019 s’élève à plus de 2 233 milliards de francs CFA en recettes et près de 2 519 milliards de francs CFA en dépenses. Quant aux recettes propres, elles se chiffrent à près de 1 895 milliards de francs CFA contre 1 697 milliards de francs CFA en 2019. Ce qui donne un accroissement de 197,780 milliards de francs CFA soit 11,65%. Elles sont constituées essentiellement de recettes fiscales qui représentent 87,30% du total en 2020. Les recettes propres représentent 84,84% des recettes totales du budget de l’État contre 86,82% en 2019 selon le ministre Kaboré.

Les ressources extérieures, quant à elles se chiffrent en 2020 à 338,536 milliards de francs CFA contre 257,564 milliards de francs CFA en 2019, soit une hausse de 80,972 milliards de francs CFA ou de 31,44%. Les dépenses du budget de l’État se chiffrent à 2 518, 45 milliards de francs CFA en 2020 contre 2 213,29 milliards de francs CFA pour 2019. Elles sont constituées de dépenses courantes pour un montant de 1 642,29 milliards de francs CFA et de dépenses en capital pour 876,16 milliards de francs CFA correspondant à des parts relatives respectives de 65,21% et 34,79%, contre 71,39% et 28,61% en 2019 et 55,05% et 44,95% en 2018.

La prédominance des dépenses courantes dans le budget 2020 s’explique essentiellement par l’évolution des dépenses de personnel qui sont passées de 700 milliards de francs CFA en 2018 à 835 milliards de francs CFA en 2019 et à 878 milliards de francs en 2020. Leur part relative par rapport aux dépenses totales est de 34,86% en 2020 contre 37,76% en 2019, 32,19% en 2018. Elles absorbent 46,33% des ressources propres du budget de l’État et 53,08% des recettes fiscales contre 53,31% en 2019.

Les dépenses d’investissements se chiffrent à 866,16 milliards de francs CFA en 2020 contre 628,06 milliards de francs CFA en 2019, soit une hausse de 238,10 milliards de francs CFA ou de 37,91%. Les investissements financés sur ressources propres se chiffrent à 479,65 milliards de francs CFA contre 333,07 milliards de francs CFA en 2019, soit une hausse de 146,58 milliards de francs CFA ou de 44,01%.

Le budget du secteur de la santé s’élève à 234,502 milliards de francs CFA contre 211,568 milliards de francs CFA en 2019. Celui du secteur de l’éducation se situe à 461,46 milliards de francs CFA contre 417,51 milliards de francs CFA en 2019. Pour le secteur de la défense et de la sécurité, le budget monte à 344,203 milliards de francs CFA contre 323,644 milliards de francs CFA en 2019.

Pour le secteur rural, 115,760 milliards de francs CFA ont été alloués contre 87,534 milliards de francs CFA en 2019.

A en croire le ministre Lassané Kaboré, le budget tient compte de l’engagement du Burkina Faso à respecter les normes précises en matière de gestion budgétaire. Cela, pour une plus grande efficacité et viabilité des finances publiques. « Il s’agit principalement, du strict respect du niveau de déficit global du budget rapporté au PIB de 3% maximum, de l’amélioration du ratio masse salariale sur recettes fiscales et du respect du ratio de l’encours de la dette sur le PIB fixé à 70% maximum » dira le ministre.

Y. Alain Didier Compaoré

 

 

 

Burkina : « les échéances électorales se tiendront à bonne date, comme l’ont prévu la Constitution et le Code électoral »: Simon Compaoré

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Le président par intérim du Mouvement du Peuple pour le Progrès (MPP), Simon Compaoré

Le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) a animé un point de presse ce 9 janvier 2020 à son siège. Objectif, « analyser la situation nationale et dresser les perspectives qui se profilent tout au long de cette année civile dont la pierre angulaire est le renouvellement de ses institutions dans le courant du dernier trimestre », a indiqué le président par intérim du MPP, Simon Compaoré. Il a aussi rassuré l’opinion nationale et internationale de la tenue effective des élections présidentielle et législatives de 2020.

Avant de s’ acquitter du rituel des vœux de nouvel an, les premiers responsables du parti au pouvoir ont marqué une minute d’hommage en mémoire des victimes militaires et civiles du fait de la «barbarie des terroristes».

Ensuite, le président par intérim, Simon Compaoré, animateur principal du jour, s’est réjoui du regain de puissance de l’armée burkinabè engagée dans la lutte contre le terrorisme. Toute chose qui a pour ambition de saper le développement du pays. Saluant cet élan des FDS, Simon Compaoré a invité le chef de l’Etat et son gouvernement à «redoubler d’effort dans l’équipement, la formation et la motivation de nos troupes et à accélérer la mise en œuvre du processus de recrutement et le déploiement de volontaires dès l’autorisation de l’Assemblée nationale».

Aussi, a-t-il salué la décision humanitaire du gouvernement sur sa décision de recueillir les orphelins de 2 à 59 mois qui ont perdu leurs mères assassinées le 24 décembre 2019 à Arbinda par la horde terroriste. Quoique le contexte de sécurité difficile, le Burkina Faso a enregistré une croissance économique de 6,3% entre 2016 et 2018 contre une moyenne de 5,4% sur la période 2011-2015, a souligné le conférencier principal du jour. « Sur un plan d’ensemble, le MPP se réjouit de la mise en œuvre du PNDES et estime à 70% le taux de réalisations sur la période 2016-2019 », ajoute-t-il.

Sur la question des élections couplées, présidentielle et législatives de 2020, le parti au pouvoir, par la voix de Simon Compaoré a rassuré que les échéances électorales se tiendront à bonne date, comme l’ont prévu la Constitution et le Code électoral. Dans ce sens, « des dispositions sont en train d’être prises pour la participation des Burkinabè de la diaspora ainsi que des déplacés internes du fait sécuritaire », a précisé M. Compaoré. Et au 1er vice-président du MPP, Clément Pegdwendé Sawadogo d’ajouter que la mise en œuvre de l’Impôt unique sur les Traitements et Salaires (IUTS) sur les indemnités et les primes n’est plus ni moins qu’une «injustice fiscale» que le gouvernement veut corriger. Mais face à la situation nationale, il a invité les syndicats et le gouvernement à poursuivre les discussions dans l’optique de parvenir à un compromis.

Bènonè Ib Der Bienvenue Médah

JT de 20h du 09 janvier 2020

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JT de 19h du 09 janvier 2020

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Revue de presse du 9/01/20

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