JT de 13h du 29 mars 2019

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[youtube https://www.youtube.com/watch?v=4KB-IouNwb0&w=1280&h=720]

Controverse du 28 mars 2019 sur les difficultés d’écoulement des produits maraîcher

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[youtube https://www.youtube.com/watch?v=1rIrw_IuQXg&w=560&h=315]

Flash de 10h du 29 mars 2019

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[youtube https://www.youtube.com/watch?v=bc8a1tpV3GE&w=560&h=315]

JT de 20h du 28 mars 2019

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[youtube https://www.youtube.com/watch?v=o1T8IMsxTLA&w=560&h=315]

JT de 19h du 28 mars 2019

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[youtube https://www.youtube.com/watch?v=aunyH9XimPE&w=560&h=315]

Lutte contre le paludisme: les acteurs en séminaire de validation du plan stratégique 2019-2020 révisé

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Les acteurs du Programme national de la lutte contre le Paludisme sont en atelier de validation du plan stratégique 2016-2020. Ce jeudi 28 mars 2019, ils se sont réunis sur le plan révisé de la période 2019-2020. Il s’agit de maintenir les acquis mais surtout de réduire considérablement le nombre de cas de paludisme. Le coût de cette période se chiffre à plus de 123 milliards de FCFA.  Le paludisme demeure un véritable problème de santé publique au Burkina. La lutte contre cette maladie se fait autour de plans stratégiques périodiques. En effet, la revue des performances du programme réalisée en 2018 a permis d’identifier les forces, les faiblesses, les défis et les orientations stratégiques de la lutte contre le paludisme. Il s’agit du diagnostic parasitologiste du paludisme, du traitement antipaludique, de lutte antivectorielle, de la prévention du paludisme chez les femmes enceinte et les enfants d’au moins 40% par rapport à 2015 au Burkina d’ici à 2020. Pour le coordonnateur du Programme Yacouba Sawadogo, les différentes interventions des activités ont été planifiées à tous les niveaux du système de santé pour l’atteinte des objectifs de la lutte. C’est pourquoi le budget global de programme 2016-2020 s’élève à plus de 226 milliards de FCFA. A en croire le coordonnateur Sawadogo, le Burkina a enregistré des progrès dans lutte contre le paludisme. Il s’agit de l’amélioration de la couverture des interventions de prévention (moustiquaires imprégnées chez les groupes vulnérables, traitement intermittent pendant les grossesses, chimio-prévention du paludisme saisonnier chez les moins de 3-59 mois, pulvérisation intra domiciliaire dans des districts ciblés) de la disponibilité des médicaments antipaludiques. Ainsi donc la revue 2019-2020 se donne pour objectif de poursuivre dans les mêmes visions dont le défi principal sera de maintenir les acquis mais surtout de réduire considérablement le nombre de cas, à travers le renforcement des différentes interventions de la lutte décrites. Le budget total de la période est chiffré à plus de cent vingt trois  milliards six cent trente neuf millions de (123 639 476 072) FCFA . Y. Alain Didier Compaoré

Flash de 18h du 28 mars 2019

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Insécurité : un réseau de malfaiteurs spécialisés dans les vols à mains armées mis aux arrêts

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Le réseau de gangs mis aux arrêts présenté
Le service régional de la Police judiciaire de la ville de Ouagadougou vient de mettre fin à la cavale d’un réseau de malfaiteurs spécialisés dans les vols à mains armées dans les domiciles, les boutiques de Orange Money et de vente de marchandises diverses, les stations-services et sur les sites aurifères. Ce groupe a dans son compteur plusieurs cas de braquages dans la ville de Ouagadougou, dans d’autres villes et même au-delà des frontières du Burkina. A ce jour, le préjudice cumulé de leur forfaiture auprès des victimes s’élève à près de 80 millions de francs CFA. Quatre membres de ce réseau ont été présentés à la presse le 28 mars 2019 au service régional de la Police judiciaire (SRPJ) de la ville de Ouagadougou, sis à Wemtenga. Tout d’égo, le Chef du Service, le Commissaire de Police, Sayibou Galbané, a rappelé les circonstances qui ont prévalu à la mise aux arrêts de ces derniers. En effet, c’est le braquage d’une boutique Orange money dans la nuit du 22 janvier 2019 à Kamboinsin qui a éveillé leurs soupçons.
Le Chef du Service régional de la Police judiciaire de la ville de Ouagadougou, le Commissaire de Police, Sayibou Galbané (2e à p. de la d.)
A l’occasion, une  enquête ouverte a permis de mettre la main sur Yemdaogo Joseph Bonkoungou, employé de commerce à Ouagadougou, par ailleurs chef de gang, souligne le conférencier principal. Les investigations ont permis plus tard d’identifier quatre autres membres et deux complices supposés. « Et c’est suite à une longue traque que Idrissa Ilboudo alias commandant djin-djin, ancien combattant dans la rébellion ivoirienne de 2002, est interpellé par la police », a confié Cre Galbané.

D’importants objets saisis

Spécialisés dans les vols à mains armées, explique le conférencier, ces derniers ciblent les domiciles, les boutiques de Orange Money et de vente de marchandises diverses, les stations-services et sur les sites aurifères. Ensuite, ils font irruption dans lesdits lieux, tiennent en respect les occupants, procèdent aux fouilles et s’emparent de tous numéraires, d’objets précieux et des téléphones portables. « Ils font usage de leurs armes à feu selon le degré de résistance de leur victime », poursuit Sayibou Galbané .
Les objets saisis
La suite des investigations, d’importants objets ont été saisis parmi lesquels, on a : 3 véhicules ( de marques Highlander, Hyundai Tucson et Peugeot), 3 vélomoteurs, une  Kalachnikov, un pistolet automatique de marque Sig Sauer, 22 munitions et 2 chargeurs de Kalachnikov et 11 téléphones portables. Pour le Cre Galbané, la prise aurait pu être plus conséquente si un « activiste », bien connu, n’avait pas divulgué l’information sur la mort du Sieur Bonkoungou dans les locaux du SRPJ lors de sa garde à vue. « Dès qu’il a publié l’information, les autres membres du groupe ont fui en direction de la Côte d’Ivoire avec des armes de guerre. Ils sévissent aussi là-bas », a-t-il déploré. Qu’à cela ne tienne, Cre Galbané a salué la franche collaboration de la population et l’en appelle à plus de collaboration pour retrouver les fuyards avant de préciser que « l’enquête est actuellement en cours et à la fin de celle-ci, ceux déjà mis aux arrêts seront conduits devant madame le Procureur du Faso près le Tribunal de Grande Instance de Ouagadougou pour les suites judiciaires ». Bènonè Ib Der Bienvenue Médah