Dans la ville de Dédougou, une bonne partie de la population réside dans les zones d’habitats spontanés communément appelées non loties. En moins de 10 ans, l’espace de ces quartiers spontanés s’est quadruplé et connait une forte densité de la population. Sur un hectare, l’on dénombre plus de 200 ménages. Les conditions de vie n’y sont pas reluisantes: manque d’eau potable, d’électricité et de voiries. Pour améliorer leur cadre de vie, les occupants de ces zones non viabilisées s’organisent comme ils peuvent. Le dernier lotissement à Dédougou remonte à 1996. Plus de détails dans ce dossier d’Aicha DIANDA.