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Déclaration du Ministre de l’Eau et de l’Assainissement à l’occasion de la commémoration de la journée mondiale de l’eau : 22 Mars 2016

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Thème : Eau et Emploi

Le Burkina Faso, à l’instar des autres membres de la communauté internationale, commémore le 22 Mars de chaque année, la Journée Mondiale de l’Eau. Cette année, la célébration a lieu dans un contexte particulier aussi bien au plan national qu’international. En décembre 2015, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté les objectifs de développement durable (ODD) à la suite des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) arrivés à terme en fin 2015. Sur les 17 objectifs de développement durable, au moins 5 sont consacrés à l’eau et le but ultime, est l’accès universel aux services d’eau potable. Au niveau national, grâce à la mobilisation et au plaidoyer des acteurs du secteur, le Conseil National de Transition (CNT) a adopté le 05 Novembre 2015, la loi portant droit d’accès à l’eau et l’assainissement ; cet acte fort du législateur, marque la volonté du Burkina Faso de créer les conditions favorables à la réalisation de l’accès universel, d’ici 2030.

L’analyse des performances du secteur de l’eau, montre des progrès significatifs dans l’approvisionnement en eau potable des populations urbaines (taux d’accès de 89%) et peu satisfaisants en milieu rural (67%). Ces chiffres traduisent les efforts consentis par l’Etat et les populations, 2AA avec le soutien des partenaires techniques et financiers, le secteur privé et la société civile tout au long de la mise en œuvre du programme national d’approvisionnement en eau potable et assainissement.

Au niveau de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau, les principaux résultats atteints par notre pays sont le suivants : (i) l’état des lieux des ressources en eau et de la définition de leur cadre de gestion, réalisé en mai 2001, (ii) l’adoption de la Loi d’orientation relative à la gestion de l’eau, adoptée par le parlement en février 2001, (iii) l’élaboration et la mise en œuvre du Plan d’Action de la Gestion Intégrée des Ressources en Eau (PAGIRE), adopté par le Gouvernement en mars 2003, (iv) la mise en place du Conseil National de l’Eau en tant qu’organe national pour une gestion concertée de l’eau associant l’Etat, les Collectivités territoriales, le secteur privé et la société civile, (v) la définition de la nature juridique, la création et la mise en œuvre effective des cinq (5) agences de l’eau du pays sous forme de groupements d’intérêt public (GIP) entre le Gouvernement et les collectivités territoriales concernées. Cependant, il subsiste d’énormes disparités entre les régions, les provinces et les communes : certaines communes ont des taux d’accès de plus de 100% tandis que d’autres sont en dessous de 30%.Le financement des investissements est assuré dans une large proportion parles partenaires extérieurs. Les principaux défis du secteur de l’eau sont liés à : (i) la connaissance et le suivi de la qualité des ressources en eau, (ii) le renouvellement des investissements, (iii) le recouvrement des coûts en milieu rural, (iv) la pollution par les activités minières et agricoles.

Pour répondre à ces nombreux défis, le secteur de l’eau se doit d’opérer un certain nombre de mutations tenant compte des aspirations profondes du peuple burkinabè, notamment sa frange jeune et pauvre vivant dans les campagnes et les quartiers non lotis ou périphériques des villes du pays. Le droit d’accès à l’eau potable et l’assainissement doit être une réalité pour tous les burkinabè, sans exclusive. Le pays doit également asseoir les bases d’une gestion saine, consensuelle et prospective des ressources en eau, afin de ne pas compromettre les écosystèmes et droits des générations futures. La politique nationale de l’eau se fondera sur des principes directeurs alignés avec les valeurs de la société burkinabè et les exigences de préservation de l’environnement et de la santé des populations.

C’est pourquoi, SEM le Président du Faso accorde une très haute priorité à l’eau dans son Programme présidentiel. En effet, ce programme ambitionne de fournir l’eau potable à tous les Burkinabè d’ici 2020, à travers une campagne nationale « zéro corvée d’eau » dont le lancement est prévu le 31 Mars 2016.

Le thème de la journée mondiale de cette année « Eau et Emploi » a été retenue retenu par la communauté internationale et le Burkina Faso, afin de louer et reconnaitre les efforts et le mérite des hommes et des femmes qui se battent au quotidien, afin que l’accès à l’eau soit une réalité pour les populations des villes et villages du pays. Selon une étude réalisée par les Nations Unies, 3/4 des emplois dans le monde dépendent de l’eau et il existe une corrélation positive entre les investissements du secteur de l’eau et la croissance économique. Au Burkina Faso, l’eau est un facteur important dans la création d’emplois directs liés à la mobilisation et la gestion de la ressource, et indirects du fait des activités économiques utilisant l’eau (agriculture, élevage, pêche, énergie, industries, santé, etc.). Une analyse de l’évolution de la nomenclature des métiers de l’eau montre que jadis, affaire des ingénieurs et techniciens, le secteur de l’eau est de nos jours, animé par des compétences diverses : sociologues, économistes, juristes, communicateurs et journalistes, manageurs, chercheurs, formateurs, etc.

Le Ministère de l’Eau et de l’Assainissement, en collaboration avec d’autres départements ministériels, s’attelle à l’évaluation des opportunités d’emplois pour les 15 prochaines années, afin de mettre en place des mécanismes pour attirer davantage de jeunes diplômés et de femmes de tous les niveaux de métier.

Afin de permettre à chaque catégorie d’acteurs de jouer efficacement son rôle, des concertations seront entreprises dans les prochaines semaines avec les professionnels du secteur (Ordre des ingénieurs du Burkina, organisations professionnelles du secteur tels que les syndicats, les associations des privés, les réseaux des jeunes professionnels, etc.). Il s’agira de réfléchir à la mise en place d’un cadre normatif, notamment la codification des différents métiers du secteur à travers l’adoption de règles de déontologie et des prescriptions techniques applicables par tous.

A toutes ces femmes et tous ces hommes qui s’activent directement et indirectement pour assurer la vitalité du secteur de l’eau, je voudrais au nom du Chef du gouvernement et de son SEM le Président du Faso, vous exprimer toute ma reconnaissance ainsi que celle de la nation toute entière. Certes les défis sont énormes et les moyens financiers limités, mais le Burkina Faso dispose de ressources humaines qualifiées dont le professionnalisme et l’engagement nous permettront de cheminer progressivement vers l’accès universel.

Enfin, je renouvelle ma gratitude aux partenaires techniques et financiers pour le soutien permanent et conséquent apporté de façon multiforme et à divers niveaux au secteur de l’eau.

A toutes et à tous, je souhaite une bonne commémoration de la Journée Mondiale de l’Eau.

Niouga Ambroise OUEDRAOGO

Chevalier de l’Ordre du Mérite

Mali : Fusillade à ACI 2000, un quartier huppé de Bamako depuis 19h30

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« Des échanges de tirs ont éclaté ce lundi soir vers 19h30 (heure locale) dans la capitale malienne », d’après une alerte RFI. Selon la même source, « des hommes armés affrontent les forces de sécurité dans le quartier huppé d’ACI 2000, désormais bouclé ».

Déclaration des organisations professionnelles des médias suite à la suspension du Bimensuel l’Evénement

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Depuis quelques semaines, nous assistons à une sorte de passe d’armes entre le Conseil supérieur de la communication (CSC) et le journal L’Evènement. En effet, le vendredi 19 février 2016, l’opinion a été informée par un communiqué de la suspension du bimensuel L’Evènement. Cette suspension fait suite à la parution de L’Evènement N°320 du 10 février 2016 dans laquelle un article intitulé : « Les poudrières du Burkina ». Dans son communiqué de suspension, l’instance de régulation soutient que le journal « livre avec forces détails, plan à l’appui, des informations techniques et géographiques des différents dépôts d’armement des Forces armées nationales ». Le CSC en conséquence a décidé de la suspension du journal pour une période d’un mois.

Considérant la gravité de la sanction,

Considérant que les organisations professionnelles des médias et le Centre National de Presse Norbert Zongo (CNP-NZ) ont toujours œuvré à privilégier le dialogue entre les médias et l’organe de régulation,

Nous, organisations professionnelles des médias avons donc décidé de rencontrer les deux parties, le journal L’Evènement et le CSC afin de :

  • Premièrement mieux comprendre les manquements reprochés au journal et les motivations de la sanction prise par le CSC ;
  • Deuxièmement demander au CSC de reconsidérer sa sanction notamment en levant la suspension qui frappe le journal.

Après avoir rencontré le Directeur de publication de l’Evènement, , une délégation du Centre National de Presse Norbert Zongo a rencontré la Présidente du CSC et son équipe le 25 février 2016 au siège de l’institution afin de plaider pour la levée de la suspension. A la suite des échanges, la Présidente a affirmé ne pas être opposée à la levée de sanction. Cependant elle a renvoyé notre mission vers l’Etat-major général car selon elle, la sanction fait suite à une plainte de l’armée.

Pour notre part nous pensons que l’Armée, bien qu’étant la partie plaignante (et justement parce qu’elle est la partie plaignante), ne peut pas être celle qui décide de la levée de la sanction ou non. Si le CSC qui se dit être disposé à lever la sanction, conditionne encore la levée de cette sanction à l’accord de l’Armée, cela reviendrait à reconnaitre que la sanction lui a été imposée par l’Armée. Mais puisque nous étions allés dans un esprit de dialogue et de médiation, alors nous avons accepté l’idée de rencontrer aussi l’Etat-major général de l’Armée. D’autant plus que c’était une occasion de partager un certain nombre de préoccupations des médias avec l’Etat-major sur les rapports entre l’armée et les organes de presse. A cet effet, des démarches ont été entreprises pour une demande d’audience au niveau de l’Armée. Jusqu’à ce jour nous attendons la réaction de l’Etat-major de l’Armée.

Concomitamment à la démarche de dialogue, L’Evènement avait saisi le Tribunal administratif aux fins de lever la sanction. Nous avons assisté à ce procès le 3 mars 2016. Au cours du procès public, tous ceux qui ont assisté à l’audience ont pu voir les difficultés que le CSC et son conseil ont eu à justifier la sanction. Dans la forme comme dans le fond, des manquements graves ont été reprochés au CSC quant à cette sanction. Le CSC a reconnu n’avoir pas auditionné le journal avant de prendre la décision de suspension. Ce seul fait constitue un manquement grave. C’est un principe général de droit qui veut que nul ne soit sanctionné sans avoir eu l’occasion de s’expliquer sur les faits qui lui sont reprochés. Le CSC justifie le fait de n’avoir pas auditionné les responsables du journal au prétexte que le journal était récidiviste. Outre le fait que le CSC emploie une notion ambiguë en matière de délit de presse  à savoir « la récidive», il a été entendu au procès que rien ne pouvait dispenser le CSC d’une audition des responsables du journal dans des actes pour lesquels ils sont présumés coupables.

En outre, tout au long du procès, il est apparu que la sanction prise par le CSC a été plus motivée par un rapport qui lui a été fourni par l’Armée plutôt que par un jugement indépendant du collège des conseillers. Il est bon de rappeler que le CSC est une institution républicaine. La Constitution qui l’a reconnue affirme sans ambiguïté l’indépendance de l’institution. A ce titre les conseillers ne sauraient prendre une sanction contre un organe de presse fondée principalement sur les motivations sinon les injonctions d’une tierce partie.

A l’issu du procès le tribunal a délibéré en prononçant un sursis à exécution de la sanction qui pesait contre L’Evènement.

Nous pensions être sur une bonne sortie lorsque nous apprenons que le CSC ou son conseil a interjeté appel de la décision du juge administratif. Mieux (ou pire), à la suite de la reprise de parution de L’Evènement notamment la sortie du N°321 du 10 mars 2015, le CSC a fait une sortie médiatique pour protester contre la reprise du journal L’Evènement au motif que l’appel introduit suspend la décision du juge administratif. Sans tomber dans le débat juridique où le CSC n’a pas non plus le fin mot, les organisations professionnelles des médias constatent avec regret que le CSC qui s’était dit ouvert au dialogue et disposé à lever la sanction continue de jouer des pieds et des mains pour maintenir la suspension du journal.

Au regard de tout ce qui précède, les organisations professionnelles signataires de la présente déclaration :

  • regrettent les attitudes du Conseil supérieur de la communication qui emploie un double langage dans l’affaire de la suspension du journal L’Evènement,
  • Dénoncent les connexions coupables entre le CSC, une institution sensée travailler en toute indépendance, avec une partie plaignante fut-elle l’Armée,
  • Invitent le CSC à se ressaisir et à se recentrer sur sa mission de régulation des médias et à éviter les comportements de justicier qui poussent l’institution lentement mais surement vers la dérive.

Par conséquent, nous, organisations professionnelles des médias, affirmons notre solidarité et notre soutien au journal L’Evènement qui du reste a été partiellement reconnu dans ses droits par une juridiction de l’ordre administratif en attendant le jugement de l’affaire au fond.

Par ailleurs, les organisations professionnelles tiendront une conférence de presse le jeudi 24 mars au Centre national de presse Norbert Zongo. Mues par une ferme volonté de contribuer à un débat constructif sur le professionnalisme dans les médias et sur la régulation, nous envisageons ouvrir un débat public avec les acteurs sur ces sujets. Pour le cas spécifique des « secrets militaires », les organisations professionnelles des médias en conviennent qu’ils ne doivent pas être diffusés dans la presse. Mais encore faut-il savoir exactement ce qui est « secret » et ce qui ne l’est pas. Aussi, voudrions-nous réaffirmer notre disponibilité à un dialogue constructif avec les forces armées nationales sur ces questions d’importance capitale.

Ouagadougou, le 21 mars 2016

Ont signé,

Pour le Centre nationale de presse Norbert Zongo (CNP/NZ) : Boureima OUEDRAOGO, Président du Comité de Pilotage ;

Pour la Société des Editeurs de la presse privée (SEP) : Lookman SAWADOGO, Président

Pour le Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) : Sidiki Dramé, Secrétaire Général ;

Pour l’Association des Journalistes du Burkina (AJB) : Guezouma Sanogo, Président,

Pour l’Union nationale de l’audiovisuel libre du Faso   (UNALFA), Charlemagne ABISSY, Président

Pour l’Association des retraités de l’information, Paul Ismaël OUEDRAOGO, Président

Pour l’Association des éditeurs et promoteurs de journaux en langues nationales (AEPJLN), Evariste ZONGO, Président ;

Pour l’Association des médias communautaires (AMC), André Eugène ILBOUDO, Président

Pour le Réseau d’initiatives de journalistes (RIJ), Boureima LANKOANDE, Coordonnateur

Pour Reporters du Faso, Abdoulaye TAO, Secrétaire Général

jt de 13h15 du 21 Mars 2016

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JT de 20h du 20 mars 2016

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