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Coupe du Faso dame 2019: l’USFA met au pas l’AS Tigresse de Bobo (4-0) et remporte le titre

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L’Union sportive des Forces armées (USFA) a remporté ce 24 mai 2019 au stade municipal Issoufou Konombo de Ouagadougou la 5e finale de la Coupe du Faso dame en disposant de l’AS Tigresses par le score de (4-0). Elle s’adjuge le trophée, les médailles d’or et la somme d’un million cinq cent mille francs FCA.

L’Union sportive des Forces armées (USFA) a été sans pitié devant l’AS Tigresses de Bobo à la finale de la 5e coupe du Faso dame. L’équipe féminine militaire a laminé l’AS Tigresses par le score de (4-0).

Le calvaire des jaunes et bleus de Bobo a commencé dès la 8e minute. Suite à un coup franc des 25 m, Zoeyandé Sawadogo d’un tir splendide ouvre le score, (1-0) pour l’USFA. Six (6) minutes plus tard Juliette Nana signe le deuxième but. L’AS Tigresses court derrière la réduction du score mais a du mal à pointer le nez devant l’équipe militaire bien en place. La mi-temps intervient sur ce score de (2-0).

A la reprise, l’USFA ne met pas de temps pour aggraver le score par l’entremise de Stéphanie Gbogou à la 47e mn. A trois buts à zéro les rouges et noires de l’USFA déroulent leur jeu et les visiteuses courent derrière le ballon.

A la 71e mn, une main dans la surface de réparation des Tigresses complique les choses. Puisque l’arbitre centrale Jacqueline Nikièma hésite pas à indiquer le point de penalty. Il sera transformé avec succès par Yasmina Kouanda. Ce qui porte le score à 4-0. Un score qui n’évoluera pas jusqu’à la fin de la finale.

L’USFA s’adjuge donc le trophée des mains de l’épouse du chef de l’Etat madame Sika Kaboré, les médailles d’or et la somme d’un million cinq cent mille (1 500 000) FCFA.

L’AS Tigresses se console avec les médailles d’argent et la somme d’un million (1 000 000) de FCFA.

Les Princesses classées 3e reçoivent la somme de 750 000 FCFA et les médailles de bronze.

Les Lionnes de Houet, 4e, se contente de 500 000 FCFA.

Y. Alain Didier Compaoré

 

 

“Nous avions produits depuis notre prise de fonction 9 projets de décrets, aucun n’a été adopté par le gouvernement, d’où notre inquiétude”: Dieudonné Yaméogo au PM Dabiré

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Le président du conseil d’orientation de l’ASCE/LC plaide, auprès du Premier ministre, l’adoption diligente des décrets d’application devant régir le fonctionnement de l’autorité de lutte contre la corruption.

« Ce sont en tout 9 projets de décrets que nous avions produits depuis notre prise de fonction en mars 2018. Et à ce jour, aucun projet n’a été adopté par le gouvernement ; d’où notre inquiétude que nous sommes venus exprimer au Premier ministre », s’est exprimé le président du conseil d’orientation de l’ASCE/LC, Dieudonné Yaméogo à sa sortie d’audience avec le chef du gouvernement.

Il a indiqué que le Premier ministre leur a fait la promesse de prendre les dispositions nécessaires pour que dans les délais les meilleurs, ils puissent être satisfaits de sorte à permettre à l’ASCE-LC de fonctionner normalement.

Et séance tenante, le chef du gouvernement a instruit le contrôleur d’Etat de lui communiquer l’ensemble des textes qui vont être soumis au conseil afin qu’il interpelle les ministres concernés pour accélérer le processus.

Le conseil d’Orientation, par la voix de son président fonde l’espoir que cette situation trouvera une solution. Faute de quoi, ils prendront leurs responsabilités. « Nous pensons que les choses vont aller dans le bon sens. Et si ce n’est pas le cas, je pense qu’on aura créé une structure qui normalement doit apporter beaucoup de choses au niveau du Burkina. Mais si on ne lui donne pas les moyens pour fonctionner, de ce point de vue chacun va tirer les conclusions et prendra sa responsabilité », précise-t-il.

Notons que le Conseil d’Orientation de l’Autorité supérieure du Contrôle de l’Etat et de Lutte contre la Corruption est un conseil d’Administration qui s’occupe de l’examen et de l’adoption de projets de décrets et les soumet au gouvernement pour adoption.

Bènonè Ib Der Bienvenue Médah

Education: les syndicats lèvent leur mot d’ordre « dans tous ses aspects »

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La Coordination nationale des syndicats de l’éducation (CNSE) lève son mot d’ordre de boycott. A travers une lettre circulaire adressée aux militants, en date du 22 mai 2019, elle appelle ses militants à reprendre le travail à partir du 23 mai 2019.

« Après analyse des dispositions prises » par le Gouvernement pour satisfaire leurs revendications, la CNSE « a décidé de la levée du mot d’ordre dans tous ses aspects pour compter du jeudi 23 mai 2019 à 00 heures », indiquent les syndicats dans leur lettre.

 

Rencontre Gouvernement/Syndicats : le Gouvernement invite les partenaires sociaux à la reprise des discussions

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Le Gouvernement invite, à travers le communiqué ci-après, les syndicats à revenir sur la table des négociations, à l’issue de la rupture du dialogue opérée par l’Unité d’action syndicale (UAS) après l’ouverture de la rencontre le 21 mai 2019. “Le Premier Ministre a instruit les ministres à engager avec les partenaires sociaux, une réflexion urgente à l’effet de résorber les insuffisances du dispositif en vigueur”, indique le communiqué du gouvernement.

Télécharger le Communiqué Suspension Rencontre Gouvernement-Syndicats

Education nationale: 1933 écoles et établissements fermés à la date du 17 mai 2019

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1 933 écoles et établissements sont fermés pour cause d’insécurité, a annoncé le ministre Stanislas Ouaro en charge de l’Education lors du point de presse du Gouvernement ce 23 mai 2019. 326 152 élèves sont affectés par la situation, de même que 9 042 seraient hors classes. Les examens de fin d’année commencent pourtant le 6 juin 2019. Une session spéciale sera organisée pour les élèves en classe d’examen dont l’année a été fortement perturbée.

Pour les examens scolaires au niveau du MENAPLN, les candidats au BEPC, au CAP et au BEP se jettent à l’eau dès le 6 juin 2019 avec les épreuves écrites et orales. Cette année, c’est au total 304 096 candidats qui iront à l’assaut du brevet, soit une baisse de 3,27% des candidats par rapport à l’année 2018. « La situation à l’Est, au Nord et au Sahel, avec la fermeture des établissements, semble être la cause de cette baisse, selon le ministre Stanislas Ouaro en charge de l’Education. Les candidats sont répartis dans 1 427 centres d’examens scolaires 219 centres de composition, 728 jurys et 699 centres secondaires.

Au niveau du BEP et CAP, 12 028 candidats ont été enregistrés. A ce niveau, le nombre de candidats a connu une hausse (6,38%) par rapport à l’an dernier.

Le certificat d’étude primaire (CEP) commence le 11 juin 2019. On dénombre 419 260 inscrits. On constate une hausse du nombre de candidats (7,6%) et malheureusement une baisse de 1 031 candidats dans la seule région de l’Est due à l’insécurité.

Tous ces examens prennent fin le 20 juin 2019 et nécessitent un budget de 14 536 685 184 FCFA.

« En raison de la situation sécuritaire, une session spéciale sera administrée aux élèves en classe d’examen dont l’année a été fortement perturbée« , a rassuré le ministre Ouaro. Le point sera fait en fin mai pour déterminer ceux qui verront leur année scolaire blanchie et ceux qui pourront par un aménagement du calendrier scolaire achever leur année scolaire, a ajouté le ministre.

Toujours dans le domaine de l’éducation « 1 933 écoles et établissements post primaires  et secondaires sont fermés à la date du 17 mai » affirme le ministre Ouaro. C’est au total 326 152 élèves qui sont affectés par la situation, de même que 9 042 seraient hors classes.

Le ministre a également salué la finalisation de la rédaction du statut valorisant de l’enseignant. Ce qui lève du coup le boycott des activités pédagogiques par les enseignants. A cela s’ajoute le début du traitement des indemnités spécifiques, de logement, de bonification d’échelon, mais aussi le dossier des agents des ex-garderies. Une situation qui permet de terminer l’année scolaire dans la sérénité et d’entamer celle de 2019-2020 avec plus de détermination se réjouit le ministre Ouaro.

Y. Alain Didier Compaoré

Santé: le dialogue n’est pas rompu avec le SYNTSHA, selon la ministre Claudine Lougué

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La grève dans le secteur de la santé et les erreurs dans le décret d’application des primes de motivation des agents du MINEFID ont été abordées au point de presse du gouvernement du 23 mai 2019 à Ouagadougou. La ministre de la Santé a assuré que le dialogue n’est pas rompu avec les syndicats de son département. Le ministre Rémis Fulgance Dandjinou, porte parole du gouvernement, intervenant sur l’erreur qui s’est glissée dans le décret d’application des primes de motivation des agents du MINEFID réaffirme que les responsabilités seront situées.

Au ministère de la Santé où les travailleurs sont en grève du mardi 21 au 25 mai, la ministre Claudine Lougué a laissé entendre que contrairement aux déclarations du SYNTSHA, le dialogue n’est pas rompu. Quant à la grève proprement dite, elle dira que le service minimum est assuré. En plus certains malades sont évacués dans des hôpitaux privés à Ouaga et à Bobo.

« Des difficultés sont vécues dans l’application de certains accords et que c’est ensemble donc qu’il faut travailler à lever ces goulots d’étranglement », a laissé entendre la ministre Lougué. Pour elle, même si des rencontres n’ont pas abouti à un accord, ce n’est pas pour autant qu’il y a échec et il faut poursuivre les négociations.

Le bilan humain de la grève serait de de deux cas de décès de nouveaux nés à Ouaga et à Mogtédo dans le Ganzourgou. A Ouaga également, deux femmes en travail seraient décédées mais ces cas ne seront pas liés à la grève selon madame la ministre.

Erreurs sur le décret MINIFID: « les responsabilités seront situées »

Réagissant à l’actualité, le ministre Rémis Fulgance Dandjinou en charge de la Communication et porte parole du gouvernement est revenu sur l’erreur qui s’est glissée dans le décret d’application des primes de motivation au MINIFID.

« Cela a fait l’objet d’un débat vif au niveau du Conseil des ministres parce que les ministres n’ont pas retrouvé ni dans le décret ni dans l’arrêté, les termes de ce que nous avions convenus », a dit le ministre porte parole du gouvernement. « Il y a quelque chose qui s’est passé et qui n’est pas acceptable, et qui est contraire à l’esprit des discussions du Conseil des ministres. Donc, l’Arrêté a été corrigé dès le lendemain de sa publication sur les réseaux sociaux. Il y a un décret qui va être corrigé également parce qu’il y a une petite subtilité à l’intérieur qui n’est pas celle que nous avons définie », a poursuivi le ministre. Il ajoute que les responsabilités seront situées.

Pour ce qui du passage des médias publics en société d’Etat, le ministre a laissé entendre que toutes les options ont été expliquées au syndicat et il revient au Conseil des ministres de prendre ou pas le décret et cela dès le Conseil des ministres prochain.

Y Alain Didier Compaoré

Rencontre Gouvernement/Syndicats : reprise des discussions ce matin

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Face à la montée de la grogne sociale tous azimuts au Faso, le 1er ministre Joseph Marie Christophe Dabiré a ouvert ce matin la rencontre annuelle Gouvernement/ Syndicats des travailleurs au titre de l’année 2017. Cette rencontre permettra, dit-il, de renforcer du dialogue social, de plancher sur les revendications des travailleurs des secteurs public et privé et de faire le point de la mise en œuvre des engagements pris lors de la dernière rencontre tenue en 2017. Mais dès l’entame, les  Syndicats  ont posé «le règlement de l’IUTS sans quoi il n’y aurait pas de discussions ».

La présente rencontre se tient, explique le chef du gouvernement, dans un contexte national marqué par une crise sécuritaire et des revendications d’ordre social multiples. Pour le premier ministre Joseph Marie Christophe Dabiré, la relance du dialogue social avec les organisations syndicales des travailleurs du Burkina vise à privilégier la résolution des conflits sociaux et renforcer la gouvernance au Faso.

« Nous ouvrons cette rencontre-là dans une situation qui est extrêmement difficile pour tout le monde, pour l’ensemble du pays. Mais, nous disons que ce type de rencontre devrait permettre à tout un chacun de ramener la balle à terre pour que le jeu puisse se dérouler dans de bonnes conditions. Mais cette rencontre peut être une sorte de préalable au renforcement du dialogue social entre le gouvernement et les organisations syndicales. Les avis qui seront émis au cours de ce débat-là vont contribuer à améliorer la gouvernance au niveau de notre pays », a-t-il souligné.

La présente rencontre Gouvernement/ Syndicats dont la dernière remonte à 2017, demeure un cadre pour faire le point des engagements pris depuis la session de 2017. Et les organisations syndicales des travailleurs, par la voix de Yamba Georges Koanda, par ailleurs président du mois des centrales syndicales, s’est voulu clair. Dès l’entame des discussions avec le gouvernement, il a  posé comme préalable le traitement de l’Impôt unique sur le Traitement des Salaires (IUTS) . « Nous avons déjà donné un préalable à savoir le règlement de l’IUTS. Ça a été un préalable en 2017 et 2 ans après, il n’y a toujours rien. Aujourd’hui, soit on résout ce problème ou bien, il n’y a pas de discussions. Et nous voulons un engagement ferme, puis que rien ne sert de prendre des engagements si demain on sait qu’on ne va pas les respecter », a-t-il lâché.

Le chef du gouvernement a fondé l’espoir que les conclusions, qui seront issues de ce dialogue social entre les deux parties le 26 mai prochain, seront justes  et acceptables pour tous.

Bènonè Ib Der Bienvenue Médah

JT de 13h du 25 Mai 2019

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