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JT de 19h du 14 mars 2022

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Commémoration du 08 mars 2022 au Burkina: les femmes ont planché sur les effets des crises sanitaire, sécuritaire et humanitaire

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La commémoration de la 165e journée de la femme a été célébré dans la sobriété, ce mardi 08 mars 2022, à Ouagadougou au regard du contexte particulièrement difficile que traverse le pays marqué par les crises sécuritaire, humanitaire et sanitaire. Placée sous le thème : « Défis sécuritaire et sanitaire : quelles stratégies pour une meilleure protection des femmes », cette édition a permis aux femmes de plancher sur les effets des crises sanitaire, sécuritaire et humanitaire au cours d’un panel.

La célébration de la 165e journée internationale des droits de la femme s’est faite de façon sobre à Ouagadougou. En lieu et place d’une commémoration festive, c’est un panel qui a été organisé en ce jour au Conseil burkinabè des Chargeurs pour permettre aux différents acteurs de plancher sur l’évolution du statut de la femme sur les plans social, économique et politique. A l’occasion, 3 communications ont meublé la journée dans la région du Centre.

La première communication portant sur « les effets de la crise sécuritaire sur les femmes et les filles », la paneliste par ailleurs représentante de la coordination régionale des organisations féminines du Centre, Djénéba Kiemdé a expliqué que le contexte dans lequel se trouve le pays, la réponse humanitaire n’est pas suffisante pour faire face à l’ampleur des besoins des populations déplacées. Pour elle, il faudrait renforcer davantage la présence militaire et surtout civile. Mieux, elle a suggéré non seulement de « sensibiliser les groupes de femmes sur la prévention et la gestion des crises sécuritaire, sanitaire, mais aussi de former des points focaux des femmes dans chaque région sur l’extrémisme violent et les mécanismes endogènes de prévention et de gestion des crises ».

Et au représentant du cadre de concertation genre, will Chalamber de saluer le choix du thème de cette édition qui cadre bien avec la situation que traverse le pays. Il dit fonder l’espoir que les nouvelles autorités du Burkina fassent siennes les préoccupations des femmes. « Nous souhaitons des nouvelles autorités à un engagement avec plus de ressources pour renforcer la prise en compte des mesures facilitant la promotion d’actions d’autonomisation des femmes ainsi que leur participation active et systématique au dialogue, à la réconciliation et à la consolidation de la paix au Burkina Faso », a-t-il soutenu.

Cette année, le défi majeur pour le ministère en charge de la femme demeure la gestion des personnes déplacées internes, a expliqué le directeur de cabinet, Seydou Soulama. A l’en croire, « ce jour, nous avons plus de 1 700 000 déplacées internes. Le défi, c’est comment déjà répondre à leurs besoins en termes d’alimentation, en termes d’abris, de protection, de santé, d’eau et d’assainissement. Mais aussi réfléchir dans la perspective d’un retour de ces personnes dans leur localité d’origine », a précisé M. Soulama.

Rentrée gouvernementale : le président du Faso appelle à l’intégrité et à la loyauté dans la conduite des affaires de l’Etat

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Le président du Faso, le lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a présidé ce matin le conseil des ministres de prise de contact du nouveau gouvernement. Le chef de l’Etat a appelé cette nouvelle équipe à travailler avec engagement et probité.
A ce premier conseil des ministres, le chef de l’Etat a donné ses orientations aux ministres sur la conduite de l’action gouvernementale, a indiqué le Premier ministre Albert Ouédraogo dans une déclaration à la presse à l’issue du conseil.
Selon le chef du gouvernement, son équipe entend travailler, conformément aux priorités définies par le chef de l’Etat ainsi que celles contenues dans la Charte et l’Agenda de la Transition. Ces priorités sont entre autres « la lutte contre le terrorisme, la restauration du territoire national, la réponse à la crise humanitaire, la refondation de l’Etat, l’amélioration de la gouvernance, la réconciliation nationale et la cohésion sociale, la prise en charge et la réinstallation des déplacés internes dans leurs localités respectives ».
Outre ces priorités, le chef de l’Etat a instruit le nouveau gouvernement de s’attaquer aux chantiers qui préoccupent les Burkinabè à l’heure actuelle. Cela passe, par « des réformes audacieuses » et la culture de valeurs comme l’intégrité, la loyauté, la rigueur, la solidarité, la collégialité et l’exemplarité dans la conduite des actions du gouvernement.
Le président Paul-Henri Sandaogo Damiba a insisté au cours de cette première rencontre du gouvernement « sur la nécessité de la réduction du train de vie de l’Etat à travers une utilisation rationnelle des ressources de l’Etat » a aussi expliqué Albert Ouédraogo.
Le Premier ministre et son équipe ont pris l’engagement devant le chef de l’Etat, de travailler avec abnégation à soulager les souffrances des populations et à œuvrer au retour de la paix et de la sécurité sur l’ensemble du territoire national. « C’est pourquoi j’appelle les Burkinabè de tous bords à soutenir le nouveau gouvernement dans ces moments difficiles que traverse notre pays et dans la mise en œuvre de cette vision de rupture que le président du Faso veut impulser à la gouvernance d’ensemble », a soutenu le chef du gouvernement.
Formée le samedi 5 mars 2022, la nouvelle équipe gouvernementale du Premier ministre Albert Ouédraogo est composée de 25 membres dont six femmes. Les critères qui ont prévalu au choix de ces personnalités, ont été la compétence, la probité morale et l’engagement total à servir le pays a justifié le chef du gouvernement. « Ces membres du gouvernement sont pour la plupart des techniciens de leurs domaines et sont capables d’impulser une nouvelle dynamique dans la construction d’un Burkina nouveau que le président du Faso et le peuple burkinabè appellent de tous leurs vœux », a-t-il indiqué.
Albert Ouédraogo a saisi l’occasion de sa première déclaration publique pour rendre hommage à l’ensemble des Forces de Défense et de Sécurité engagées dans la lutte contre le terrorisme ainsi qu’à toutes les victimes du terrorisme. Il a terminé son propos en souhaitant une bonne fête de 8-Mars « à toutes les vaillantes femmes du Burkina Faso ».