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JT de 19H du 24 février 2022

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Burkina: nouveaux prix du Gaz Butane

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Le Secrétaire Général du Ministère Du Développement Industriel, du Commerce, de l’Artisanat et des Petites et Moyennes Entreprises assurant l’expédition des affaires courantes et le Secrétaire Général du Ministère de l’Economie, des Finances et du Plan assurant l’expédition des affaires courantes dans un arrêté conjoint fixent les nouveaux prix du gaz butane pour compter du 21 Février 2022 ainsi qu’il suit:

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Burkina : nouveaux prix des hydrocarbures

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Le secrétaire général du ministère du développement industriel, du commerce, de l’artisanat et des petites et moyennes entreprises assurant l’expédition des affaires courantes et le secrétaire général du ministère de l’économie, des finances et du plan assurant l’expédition des affaires courantes, ont pris un arrêté ce 21 février 2022 fixant les prix de vente détails au consommateur des hydrocarbures.

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Fonds National pour l’Education et la Recherche (FONER) : plus de 5.000 dossiers d’étudiants des universités publiques rejetés

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Plusieurs étudiants en grève ont investi ce matin 21 Février 2022 les locaux de la Direction Générale du FONER pour disent -ils rencontrer la Directrice Générale et demander des explications sur le rejet de leurs dossiers de prêt.
La Directrice Générale du FONER, Dr Marie Thérèse ARCENS-SOME a reconnu que outre l’insuffisance des ressources allouées qui sont passées de 6 milliards à 4 qui n’a pas permis de valider au moins 1000 dossiers remplissant les conditions d’octroi, il y aussi le fait que le retard dans l’achèvement des années universitaires n’a pas permis à beaucoup d’étudiants de compléter leurs dossiers avec les relevés de notes qui sont pourtant indispensables pour être éligibles.
Au moment ou nous quittions les lieux dans la soirée aucun consensus n’était encore trouvé entre les différents protagonistes et les forces de l’ordre étaient toujours déployés sur place afin de prévenir tout débordement.

La rédaction

Justice : dossier dit « charbon fin » bientôt jugé

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« Il vous souviendra que le dossier dit charbon fin a été appelé pour la première fois à l’audience, le 07 août 2019 puis renvoyé à la première audience du pôle économique et financier (ECOFI) d’octobre 2019. Suite à cette audience, la société IAMGOLD ESSAKANE SA a demandé une expertise judiciaire qui a été ordonnée par le tribunal lequel a commis deux experts à cette mission, le 05 mai 2020. Initialement, les analyses de laboratoire devraient être effectuées dans le laboratoire français CRISMAT de l’Ecole Nationale Supérieure d’ingénieurs de Caen (ENSICAEN) suivant le jugement de commission d’experts.

A l’épreuve, les experts ont constaté que le laboratoire précité, qui est un laboratoire de recherche, ne pouvait pas faire les analyses en temps raisonnable des plus de deux mille (2000) échantillons. Le 16 février 2021, à leur demande, le tribunal, autorisait les experts à recourir à tout laboratoire dans le cadre de leur mission. C’est ainsi que les analyses ont été finalement faites dans un laboratoire implanté au Ghana sous la supervision du juge commis à cette tâche. Les analyses de laboratoire sont enfin terminées et le rapport d’expertise, en cours de finalisation devrait être déposé dans les prochains jours. Le dossier sera dès lors enrôlé en vue du jugement.

Je suis conscient de ce qu’il y a beaucoup d’attentes relatives à ce dossier au regard de certaines insinuations qui sont souvent faites surtout sur les réseaux sociaux concernant la suite qui lui aurait été réservée. La seule explication à donner sur le temps mis par la procédure est la contrainte liée à la commission d’une équipe d’experts, la désignation du laboratoire adéquat, le temps nécessaire à l’analyse des échantillons selon le protocole indiqué ; le dossier ne pouvant être jugé sans le rapport d’expertise y relatif. Je tiens à rassurer l’opinion publique que le dossier charbon fin à l’instar de tous les autres dossiers dont mon parquet s’est saisi ou a été saisi est traité suivant la rigueur procédurale appropriée.

Le parquet du pôle judiciaire spécialisé en matière économique et financière travaille avec les autres compartiments (juges d’instruction et formations de jugement) du Tribunal de Grande Instance Ouaga 1 dédiés à cette tâche, afin d’apporter une réponse efficace à la criminalité économique et financière.

Ainsi, pour le compte de l’année 2021, vingt-trois (23) dossiers ont été jugés par le pôle. Ils sont pour l’essentiel, relatifs aux infractions suivantes : Fraude fiscale et douanière, escroquerie, abus de confiance, faux et usage de faux en écriture, corruption et infractions assimilées, contrebande, fraude en matière de commercialisation de l’or, trafic illicite de devises, et diverses autres infractions qui sont identifiées comme étant les principales menaces de blanchiment de capitaux dans notre pays.

Vingt-quatre (24) autres dossiers en lien avec ces principales menaces ci-dessus citées sont en instance de jugement. Ces dossiers ne manquent pas d’intérêt pour les partenaires institutionnels que sont la Direction Générale des Impôts (DGI), la Direction Générale des Douanes (DGD), la Brigade Nationale Anti-fraude de l’or (BNAF), l’Autorité Supérieure de Contrôle d’Etat et de lutte contre la Corruption (ASCE/LC), l’Agence Judicaire de l’Etat (AJE) avec lesquels nous entretenons des liens étroits. Il n’y a pas de doute que la réduction du risque de commission de crimes économiques et financiers…est tributaire de l’efficacité de la réponse pénale face aux infractions. Or il est à relever que le pôle judiciaire spécialisé chargé de l’enquête, de la poursuite, de l’instruction et de jugement des infractions économiques et financières du Tribunal de Grande Instance Ouaga 1 est confronté à un certain nombre de difficultés qui handicapent son action.

La première difficulté part d’un constat : Les affaires qui passent devant la chambre de jugement du pôle se caractérisent par leur grande complexité et mettent en jeu d’importants intérêts financiers de telle sorte que les débats s’étalent nécessairement sur plusieurs jours d’audiences d’affilé. Cependant, il n’est tenu pratiquement que deux jours d’audience du pôle par mois. Cela ne permet pas de juger un grand nombre de dossiers malgré la bonne volonté des acteurs.

La solution à cette difficulté se trouve d’une part dans l’organisation des audiences sous forme de session comme cela se fait en matière criminelle et d’autre part dans le renforcement conséquent en personnel car la juridiction en manque cruellement. A titre d’exemple elle ne dispose que de deux juges d’instruction et son parquet, de trois substituts.

Par ailleurs, pour mener à bien les investigations complexes afin d’aboutir aux jugements des dossiers, mon parquet ainsi que les autres compartiments du pôles (instruction et jugement) sont confrontés entre autres à la problématique de la prise en charge des experts auxquels il est souvent fait recours, à l’absence de moyens logistiques pour les transports judicaires, à la prise en charge des témoins et interprètes.

De plus, en l’absence d’une unité de police judiciaire exclusivement dédiée au pôle, il est fait recours à certaines unités et sous unités de la Police Nationale et de la Gendarmerie Nationale qui manquent aussi de ressources alors que le parquet n’est pas en mesure de les soutenir financièrement. Cette situation affecte la célérité et la qualité des procédures. C’est le lieu de saluer la bonne collaboration avec l’ASCE/LC qui est sollicitée de manière pragmatique pour prendre en charge certaines expertises ainsi que des transports judiciaires dans la mesure de ses capacités.

Malgré cette liste non exhaustive d’entraves susceptibles d’être atténuées par une volonté politique, je reste engagé avec les membres de mon parquet et de la police judiciaire de mon ressort avec l’appui de mes collaborateurs magistrats, à ce que toutes infractions identifiées soient poursuivies sans complaisance et audiencées en temps opportun dans la stricte observance des procédures avec pour seule boussole, l’intérêt de la société. »

Le procureur du Faso
YODA Harouna

Administration du territoire : les chefs de circonscription administrative, s’engagent « à accompagner le processus de sauvegarde et de restauration » du Burkina Faso

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Le président du Faso, le Lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a rencontré cet après-midi, les gouverneurs, les haut-commissaires et les préfets. Les échanges ont porté essentiellement sur la continuité du service public, la mise en place des Délégations spéciales régionales et communales ainsi que sur les objectifs du Mouvement patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR).


Le chef de l’Etat a rappelé à la délégation de chefs de circonscription administrative le but du MPSR qui est de « permettre au peuple meurtri, de panser ses plaies, de reconstruire sa cohésion et de retrouver son intégrité. (…) Il nous faut donc nous mettre ensemble au travail pour l’avènement d’une nation reconquise, unie et prospère », a declaré le Lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba. Il a ensuite invité les chefs de circonscription administrative à observer le devoir de réserve que commande leur fonction et à être des serviteurs loyaux de l’Etat.  « Quelles que soient vos convictions antérieures, j’engage tout un chacun de vous à la circonspection et à une action débarrassée de toute considération politique », a-t-il soutenu.
Sur la question de la mise en place des Délégations spéciales le chef de l’Etat a insisté sur l’importance de ne plus « retrouver des politiciens connus dans la nouvelle gestion », car « le conseil de collectivité est dissout à l’effet de sortir sa gestion de l’influence politique » a précisé le président du Faso.
Le gouverneur de la région des Cascades, porte-parole des gouverneurs pour le mois de février, Joséphine Koala Apiou Kaboré, a partagé avec le chef de l’Etat les difficultés liées à la mise en place des délégations spéciales. Il s’agit entre autres des difficultés d’application des textes sur la mise en place des délégations spéciales, en ce qui concerne le nombre de membres. Elle a aussi déploré les vacances de poste ou les absences d’agents en raison de la situation sécuritaire dans certaines circonscriptions administratives, l’inaccessibilité de certaines localités et le manque de consensus pour le choix de leurs représentants au sein de certaines composantes.


Le Lieutenant-colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a invité les chefs de circonscription administrative à poursuivre le processus en attendant des mesures prévues par le MPSR pour soutenir la mise en place de ces Délégations spéciales. Il a enfin invité les gouverneurs, les haut-commissaires et les préfets, à apporter « une contribution au mieux, depuis les départements jusqu’aux régions » afin dit-il d’« impulser la dynamique actuelle ».
Le porte-parole des gouverneurs Joséphine Koala Apiou Kaboré a exprimé « la disponibilité et l’engagement de tous les chefs de circonscription administrative à accompagner le processus de sauvegarde et de restauration de notre cher patrie ».

Direction de la communication de la présidence du Faso

CAN2021: les Etalons reçus à Kosyam.

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Les Etalons à Kosyam : « vous nous avez donné beaucoup de joie, vous nous avez aussi donné beaucoup de déception » dixit Lieutenant-Colonel Paul Henri Sandaogo Damiba.

 

Le président du Faso, le Lieutenant-Colonel Paul- Henri Sandaogo Damiba a rencontré en fin de matinée l’équipe nationale de football de retour de la 33e Coupe d’Afrique des Nations (CAN) au Cameroun. La délégation conduite par le président de la Fédération burkinabè de Football (FBF), Lazare Banssé a présenté au chef de l’Etat les résultats de la participation du Burkina Faso à cette compétition.

Le Lieutenant-Colonel Paul-Henri Sandaogo Damiba a félicité les Etalons pour leur parcours qui a fait « vibrer les cœurs des Burkinabè ».
« Vous nous avez donné beaucoup de joie, vous nous avez donné aussi beaucoup de déception », a également déclaré le président du Faso avant d’inviter les Etalons à se remettre vite au travail pour les prochaines compétitions, notamment les éliminatoires de la CAN 2023. « L’homme se construit sur ses erreurs et sur ses échecs », a-t-il poursuivi.

« Le résultat du dernier match est amer, mais c’est à nous de savoir l’avaler pour pouvoir avancer », a expliqué le chef de l’Etat.
Le président de la FBF a lui, promis que l’équipe va tirer les leçons de cette CAN et se réorganiser pour partir à l’assaut des compétitions à venir. « Notre objectif est de faire partie du top 3 des équipes africaines de football », a affirmé Lazare Banssé.

Le capitaine des Etalons Bertrand Traoré a pour sa part déclaré avoir appris beaucoup de cette compétition. « Nous sortons grandis de cette CAN et nous apprendrons de toutes ces erreurs qu’on a commises pour pouvoir grandir, améliorer notre équipe et avoir de meilleurs résultats dans les compétitions à venir », a conclu Bertrand Traoré.


Le président du Faso a rassuré l’équipe nationale de la disponibilité du Mouvement patriotique pour la Sauvegarde et la Restauration (MPSR), à l’accompagner pour la préparation de la prochaine édition de la CAN et à œuvrer pour la normalisation du stade du 4 août afin de permettre aux Étalons de jouer leurs matchs à domicile.

Il a par ailleurs invité le peuple burkinabè à toujours soutenir cette jeune équipe dont la moyenne d’âge est de 22 ans.

Direction de la communication de la présidence du Faso

Procès Thomas Sankara et 12 autres : la plaidoirie de Me Prosper Farama

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Procès Thomas Sankara et 12 autres : « Le Général Gilbert Diendéré a mal à sa responsabilité », selon Me Prosper Farama.

L’audience du procès de l’assassinat de Thomas Sankara s’est poursuivie ce lundi 7 février 2022 à la Salle de Banquet de Ouaga 2000. Ce matin, c’est Me Prosper Farama, l’un des avocats de la partie civile qui a été le premier à prendre la parole pour sa plaidoirie.
Dès l’entame, il a éprouvé un sentiment de soulagement lié au fait que ce procès ait pu se tenir. Ensuite, il ajoute que les Burkinabè étaient déjà habitués aux coups d’Etat, (de Sangoulé Lamizana à Jean-Baptiste Ouédraogo au moins trois coups d’État), mais, avec les évènements du 15 octobre 1987, ils ont découvert, « pour la première fois, un coup d’Etat sur fond de « haine et d’une violence verbale indescriptible » a poursuivi l’avocat, avant d’expliquer le ressenti des Burkinabè qui se demandent « à quoi sert un procès après 34 ans ? ».
« Tenir ce procès après 34 ans, c’est éclairer l’opinion, c’est rendre justice, car même après 34 ans la justice et la vérité ne se périment jamais », a-t-il martelé. Mieux, Me Farama note que d’aucuns croiraient que c’est une « affaire de Sankaristes contre Blaisistes ». Mais l’avocat de la partie civile s’est voulu clair. « Je ne suis pas Sankariste, mais j’ai une profonde admiration pour Thomas Sankara », a-t-il précisé.

Après ces précisions, Me Prosper Farama avait en charge « d’expliquer l’implication de Gilbert Diendéré dans l’assassinat » de Thomas Sankara et de ses 12 compagnons.
Pour cela, Me Farama a rappelé que dans ses déclarations, Gilbert Diendéré avait fait savoir qu’il était sur le terrain de l’ENAM lorsque les tirs ont commencé au Conseil de l’Entente. Mais selon des témoins cités par le conseil de la partie civile, l’accusé se trouvait au Conseil de l’Entente pendant les tirs, toute chose qu’il a niée depuis le début du procès.
De ce point, Me Farama dit n’avoir aucun choix que de qualifier le comportement du Gilbert Diendéré qui s’assimile à une fuite de responsabilité. « Le Général Gilbert Diendéré a mal à sa responsabilité », a soutenu Me Farama.
L’avocat corrobore ses propos en rappelant l’implication de Gilbert Diendéré dans le dossier « David Ouédraogo », chauffeur du frère cadet de Blaise Compaoré tué par des éléments du Conseil de l’Entente. Que ce soit dans le dossier « Dabo Boukary », étudiant en médecine enlevé par des hommes armés après une manifestation et dont le corps a été retrouvé à quelques kilomètres de Pô; que ce soit dans le dossier du coup d’Etat de septembre 2015, le Général Gilbert Diendéré a toujours nié sa responsabilité, précise-t-il.