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Ministère des Mines et des Carrières: passage en revue des réformes et perspectives pour plus d’efficacité

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Le ministère des Mines et des Carrières a tenu ce 3 mai 2019 à Ouagadougou, une conférence de presse sur les réformes et les perspectives entreprises au niveau du ministère. Les différentes réformes politiques, législatives, réglementaires et institutionnelles ont été abordées avec la presse. 

En trois années d’existence en tant que ministère à part entière, le ministère des Mines et des Carrières (MMC) a entamé des réformes. C’est ce qui ressort du point de presse dudit département ce 3 mai 2019.

Ainsi, dans le domaine des réforme législatives et réglementaires, des textes plus attractifs du secteur minier ont été élaborés, selon le Ministre Oumara Idani. Ce qui renforce la gouvernance et implique davantage les populations riveraines pour une gestion plus apaisée des ressources, selon le ministère. 16 décrets et 18 arrêtés, plus la loi portant organisation de la commercialisation de l’or et autres substances précieuses et celle portant fixation de régime des substances explosives à usage civil ont été adoptées.

S’agissant des réformes institutionnelles, le ministre Idani a laissé entendre que 77% des recommandations de l’enquête parlementaire sur les mines ont été réalisées. Les réformes politiques ont été marquées par l’élaboration de la politique sectorielle de transformation industrielle et artisanale.

Le Fonds minier pour le développement local a occupé une part belle dans cette rencontre avec la presse. Alors que les communes se plaignent pour la lenteur dans l’indisponibilité du Fonds, le ministre Idani annonce l’effectivité de son alimentation depuis 2018.  » A la date du 28 mars 2019, les sociétés minières ont procédé au paiement effectif de  un milliard huit cent dix neuf millions huit cent treize mille neuf cent cinquante six (1 819 813 956) francs CFA. Quant à l’Etat, il a donné une contribution de 2 milliards (2 000 000 000) de francs FCFA », a indiqué le ministre Idani. Il a ajouté que les jours à venir, il sera procédé conformément à la réglementation, à la répartition du fonds et au versement des montants dus aux communes déjà invitées à disposer de comptes spéciaux.

Y. Alain Didier Compaoré

 

 

JT de 13h du 03 mai 2019

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JT de 20h du 02 mai 2019

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JT de 19h du 02 mai 2019

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Angela Merkel à l’Université Joseph Ki-Zerbo: «J’invite les Burkinabè à se tourner vers l’avenir en s’opposant aux projets de division des terroristes»

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Angela Merkel à l'Université Joseph Ki-Zerbo

En marge de sa visite de travail au Burkina Faso, la Chancelière allemande, Angela Merkel a eu une rencontre d’échanges, ce jeudi 2 mai 2019 avec les étudiants de l’Université Joseph Ki-Zerbo. Les échanges ont porté essentiellement sur les domaines de coopération bilatérale entre les deux pays, de la sécurité, du développement au Burkina Faso et de la relation de l’Allemagne avec l’Afrique.

Face aux étudiants de l’Université Joseph Ki-Zerbo, la Chancelière allemande Angela Merkel s’est voulue franche et directe. Elle a partagé avec les étudiants burkinabè sa vision sur l’avenir du continent africain. Sans tabou, les étudiants ont posé diverses questions allant de la sécurité à la relation de l’Allemagne avec l’Afrique en passant par l’émancipation de la femme.

Les étudiants de l’Université Joseph Ki-Zerbo face à la Chancelière allemande, Angela Merkel

A la question de savoir la contribution de la République fédérale d’Allemagne pour l’éradication du terrorisme, la Chancelière allemande a expliqué la volonté de son pays à accompagner le Burkina Faso dans la lutte contre ce fléau. « Nous avons réorienté notre aide pour prendre en compte les implications des crises sécuritaires », a soutenu Angela Merkel qui a, par ailleurs, invité les Burkinabè « à se tourner vers l’avenir en s’opposant aux projets de division des terroristes».

La Chancelière allemande, Angela Merkel à l’Université Joseph Ki-Zerbo

Sur la question de l’émancipation de la femme burkinabè et la coopération en matière d’éducation, de recherche scientifique et de formation professionnelle et le développement économique du Burkina Faso, les étudiants ont sollicité à la Chancelière allemande la création d’unités industrielles pour la transformation des produits sur place.

A ces préoccupations, Angela Merkel a rassuré les étudiants que les deux pays mettent les bouchées doubles pour un renforcement de la coopération bilatérale. «Nous allons essayer  en même temps de réorganiser et de réorienter notre aide à la coopération et au développement pour que votre économie puisse se développer». Pour elle, la question principale est de savoir comment l’Allemagne parviendra à soutenir le Burkina , mais avant, elle a suggéré qu’il y ait une politique de développement qui permette l’implantation d’entreprises allemandes susceptibles d’y investir.

La Chancelière allemande, Angela Merkel posant sa signature dans le livre d’or de l’Université Joseph Ki-Zerbo

A la question de savoir, comment l’Allemagne a pu amorcer son développement après la 2e guerre mondiale? La Chancelière s’est voulue on ne peut plus claire. Pour elle, le Burkina peut s’inspirer de l’expérience allemande. «Je vous encourage à vous inspirer de  votre histoire aussi; d’être ouvert, de chercher des discussions controverses et d’avoir toujours cette perspective positive de l’avenir et d’avoir la volonté de se réconcilier», leur a-t-il prodigué comme conseil.

Angela Merkel posant sa signature dans le livre d’or de l’Université Joseph Ki-Zerbo

Les étudiants et le corps professoral ont apprécié la démarche et la qualité des échanges même si certains étudiants ont jugé court le temps imparti (40 minutes avec une dizaine de questions posées).

Avant la fin de son entretien avec les étudiants, la Chancelière allemande a posé sa signature dans le livre d’or de l’Université Joseph Ki-Zerbo pour ensuite mettre le cap sur Gao (Mali) où elle doit rencontrer les soldats allemands.

Bènonè Ib Der Bienvenue Médah

Message du ministre en charge de la communication à l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse 2019

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Le Burkina Faso commémore, ce 3 mai, la journée mondiale de la liberté de presse sous le thème « Médias et élections dans un contexte de crise sécuritaire et communautaire au Burkina Faso  ».

Nous marquons cette journée avec l’UNESCO, partageant la conviction de sa Directrice générale, Audrey Azoulay, que « Tout État de droit, respectueux des libertés individuelles, notamment des libertés d’opinion, de conscience et d’expression, repose sur une presse libre, indépendante, à l’abri de toute censure et de toute coercition ».

Cette célébration s’inscrit dans le rappel et la promotion des principes fondamentaux de la liberté de la presse et l’indépendance des médias auxquels nous avons communément souscrit en épousant les idéaux de la démocratie.

Le thème national permet de mener la réflexion sur l’actualité nationale, marquée par des difficultés sur le plan sécuritaire et dans le vivre-ensemble. Dans ce contexte, les hommes et femmes de médias se doivent de redoubler d’effort et de professionnalisme dans le traitement de l’information, afin de renforcer la cohésion sociale, socle de tout développement.

Cette 26ème célébration a comme pour thème au niveau international :    « les médias pour la démocratie : journalisme et élections en temps de désinformation ». A une année d’enjeux électoraux dans notre pays et dans un contexte de crise sécuritaire et communautaire, le professionnalisme des journalistes et des médias burkinabè est mis à rude épreuve. Les contraintes liées au devoir d’informer, aux exigences de probité, d’impartialité et d’équilibre iront croissantes à l’approche des échéances de 2020.

Chères consœurs, chers confrères,

Nous pouvons nous réjouir de la situation que les médias connaissent au Burkina Faso. Elle est pour le moins satisfaisante et encourageante, car notre pays enregistre des avancées significatives sur l’échelle de la liberté de presse.

En effet, selon le classement mondial de Reporter sans frontière (RSF), édition 2019, rendu public en avril dernier, le Burkina Faso a gagné cinq places, se classant à la 36e place sur un total de 180 pays au monde. 5ème  en Afrique et 1er en Afrique francophone, notre pays conforte son positionnement de 2018, avec la 41ème place et  celui de 2017, avec la 42 place. Ces avancées sont le fruit de la conjugaison des efforts renouvelés des hommes et des femmes de médias, aiguillonnés par le professionnalisme et le soutien des plus hautes autorités de notre pays, soucieuses du renforcement de la liberté d’expression et d’opinion.

Chers confrères, chères consœurs,

Je voudrais reconnaitre, avec vous, que des défis restent à relever pour l’instauration d’un climat serein et propice aux activités journalistiques.  Au nombre de ceux-ci, on peut citer l’application effective de la convention collective qui nécessite une révision, l’amélioration du cadre juridique et institutionnel, le parachèvement du déploiement de la Télévision numérique terrestre (TNT) pour la couverture intégrale du pays, la mise en œuvre de la loi portant accès à l’information publique et aux documents administratifs, et l’érection de la RTB et des Editions Sidwaya en sociétés d’Etat.

C’est ensemble, dans un esprit de dialogue constructif, que nous devons nous attaquer aux nombreux chantiers, comme nous avons su le faire, avec l’adoption de la loi sur la dépénalisation des délits de presse, l’apurement des dettes de la presse privée et la mise en place du fonds d’appui à la presse privée (FAPP).

Je voudrais vous  assurer que le FAPP parachèvera son mécanisme de fonctionnement par l’ouverture d’une ligne de crédit dans une institution bancaire, afin d’accompagner les médias privés dans leur plan de développement. En effet, la liberté de la presse, c’est aussi la nécessité pour les entreprises de presse de réunir les conditions économiques pour leur épanouissement et leur développement structurant.

Chères consœurs,

chers confrères,

Le gouvernement, en prisme avec le thème de la célébration la journée mondiale de la liberté de presse de cette année, va s’atteler, une fois de plus, à prendre des mesures en vue de permettre aux médias d’assurer convenablement leur rôle dans le cadre de la couverture des campagnes électorales et le renforcement de la démocratie.

Il va s’agir, en collaboration avec le Conseil supérieur de la communication (CSC), de poursuivre les ateliers de formation, axés sur le mandat d’information du citoyen, la contribution à la formation de l’opinion du lectorat, le libre accès des partis politiques et des candidats aux médias, ainsi que la répartition équitable de leur temps d’antenne.

Je renouvelle l’engagement du gouvernement à œuvrer pour que les hommes et les femmes des médias travaillent, en toute sécurité, en toute liberté et impartialité, en toute indépendance et à l’abri des pressions des pouvoirs publics et économiques, afin que leurs productions reflètent le plus largement possible la diversité d’opinion de notre société.

En retour, je fonde l’espoir que les hommes et femmes de médias burkinabè produisent, avec professionnalisme, des contenus riches et variés, révélateurs de leur responsabilité sociale, assurant du coup la paix et la stabilité, chères à notre pays, le Burkina Faso.
Vive la liberté de la presse !

Vive le Burkina Faso !

Bonne fête à toutes et à tous !

Je vous remercie !

Remis Fulgance Dandjinou
Ministre de la communication et des Relations avec le Parlement,
Porte-parole du gouvernement

Officier de l’ordre National