JT de 20h du 29 août 2017

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Franc CFA : Kémi Séba relaxé avec une peine de 3 mois de prison avec sursis

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Kemi Seba lors d'un rassemblement, le 19 août à Dakar. © Jeune Afrique
L’activiste franco-béninois, Kémi Séba a été relaxé dans l’après-midi du mardi 29 août 2017 par le Tribunal des flagrants délits dakarois. Le président de l’ONG Urgences Panafricanistes avait été arrêté le 25 août 2017 et traduit en justice pour avoir brûlé publiquement un billet de 5 000 F CFA.
Le Tribunal des flagrants délits de Dakar a relaxé ce 29 août 2017 l’activiste franco-béninois Kémi Séba, selon Jeune Afrique. Arrêté le 25 août à Dakar, suite à une plainte de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO), l’activistei a été placé sous mandat de dépôt à la prison de Rebeuss, à Dakar. Kémi Séba avait brûlé, en public, un billet de 5 000 F CFA le 19 août, lors d’une journée « contre la Françafrique ». Selon Jeune Afrique, le Parquet a, au cours de l’audience, requis une peine de trois mois de prison avec sursis contre Kémi Séba. Le tribunal a finalement relaxé le militant, ainsi qu’un membre de l’ONG, Bentaleb Sow, qui avait été arrêté au même moment que son président. Source : Jeune Afrique RTB/Multimédias      

Partenariat public-privé (PPP): le Ministère de l’économie et les opérateurs économiques s’approprient les procédures

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La Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina et le Ministère de l’Economie, des Finances et de Développent ont organisé une rencontre à Ouagadougou ce 29 août 2017. Il a été question d’informations et d’échanges sur le Partenariat Public-Privé (PPP) en vue de son appropriation par le secteur privé national. L’Etat et le secteur privé (à travers la Chambre de commerce et d’industrie) se concertent pour mieux s’imprégner des procédures d’allègement de contractualisation des projets de partenariats public-privé (PPP). Pour le vice président de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina(CCI-BF) Lassina Diawara, cette rencontre constitue la matérialisation des engagements pris par les deux parties en faveur de l’information et du renforcement des capacités des acteurs de la chaîne des PPP.
Lassina Diawara vice président de la CCI-BF
Il explique qu’en mars 2017, la CCI-BF a initié le premier forum Etat-secteur privé sur les PPP autour du thème « mise en oeuvre du PNDES: comment renforcer la participation du secteur privé national à la réalisation des projets? ». Afin de lui permettre de jouer pleinement son rôle dans le développement du Burkina, le secteur privé rappelle au Gouvernement la nécessité de la mise en oeuvre effective des recommandations prises lors de ce forum secteur. Il s’agit de la mise en place d’un dispositif institutionnel centralisé doté d’une expertise conséquente. Le secteur privé demande également la révision du cadre juridique et réglementaire des PPP à l’aune de la directive communautaire de l’UEMOA en cours d’adoption tout en prenant en compte les bonnes pratiques et les leviers d’implication du secteur privé national. En fin comme recommandation, la chambre du commerce veut un cadre d’échanges entre les banques et établissements financiers locaux et le secteur public sur la problématique du financement des projets PPP.
Séglaro Abel Somé, SG du Ministère en charge de l’Economie
Le Secrétaire général du Ministère en charge de l’Economie Séglaro Abel Somé, représentant son ministre, a salué tout d’abord la tenue de cette rencontre d’échanges. Il a ensuite décortiqué les différentes procédures d’allègement. Une communication satisfaisante pour les participants qui souhaitent voir sa mise en oeuvre dans un bref délai. D’ores et déjà, la communauté Burkinabè des affaires annoncent la mise en oeuvre de deux projets majeurs. Il s’agit du port sec de Ouagadougou d’un montant de 25 milliards de FCFA et l’extension de celui de Bobo pour 20 milliards. Y. Alain Didier Compaoré          

JT de 19h du 29 août 2017

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Fasofoot 2017-2018: début de la saison le 21 octobre 2017, avec de nouvelles exigences

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Les clubs devant disputer les championnats de D1, D2 et la Coupe du Faso pour la saison 2017-2018 doivent confirmer leur engagement aux compétitions avant le 01 octobre 2017, selon un communiqué de la Ligue de Football Professionnel. Le démarrage des compétitions est prévu pour le 21 octobre 2017. Pour être engagé pour les compétitions, chaque club de D1 et D2 devra adresser au Secrétariat Exécutif de la Ligue de Football Professionnel une lettre signée de son président par laquelle il marque son engagement pour les compétitions auxquelles son équipe participera cette saison en transmettant par ailleurs les informations ci-dessous :
– Copie du reçu de paiement des frais d’engagement au championnat national et à la Coupe du Faso, – Copie du reçu de paiement des pénalités administratives de la saison 2016-2017 – Nom, prénoms, numéros de licences et numéros de dossards (1 à 30) des joueurs retenus par l’équipe pour participer aux compétitions organisées par la LFP pour la saison 2017-2018, – Nom, prénoms et numéro téléphonique du médecin de l’équipe, – Les couleurs avec lesquelles l’équipe participera aux compétitions suivant le tableau ci-joint: Les droits d’engagement aux championnats nationaux de football et à la Coupe du Faso pour la saison 20172018 sont fixés pour chaque compétition à cinquante mille (50 000) francs CFA pour les équipes évoluant en 1ère division et à trente-cinq mille (35 000) francs CFA pour celles de la 2ème division. Bureau de la Ligue de Football Professionnel
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