JT de 19h du 23 novembre 2017

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Classement FIFA: le Burkina 6e en Afrique et 44e au monde après un bond de 11 places en novembre 2017

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Le Burkina fait un bond de +11 places et se classe 6e nation de foot en Afrique et 44e au plan mondial dans le classement mensuel de novembre 2017 de la FIFA. Le Sénégal, après sa qualification pour le mondial Russie 2018 est désormais première en Afrique et 23e nation de foot au monde. L’Allemagne reste le leader au niveau mondial. Le Burkina est la 44e nation de football au monde selon le dernier classement de la FIFA.  En Afrique les Etalons se classent 6e. Les Lions de la Teranga détrônent la Tunisie pour être désormais à la tête des pays de la zone CAF et 23e zone FIFA. Le pays du football mondial lui s’appelle l’Allemagne. Le top 20 africain 1. Sénégal (23e) 2. Tunisie (27e) 3. Egypte (31e) 4. RDC (36e) 5. Maroc (40e) 6. Burkina Faso (44e) 7. Cameroun (45e) 8. Nigeria (50e) 9. Ghana (51e) 10. Côte d’Ivoire (61e) 11. Algérie (64e) 12. Guinée (66e) 13. Cap Vert (68e) 14. Mali (72e) 15. Ouganda (74e) 16. Zambie (75e) 17. Libye (77e) 18. Afrique du Sud (81e) 19. Bénin (82e) 20. Guinée Bissau (88e) Le top 10 mondial 1. Allemagne 2. Brésil 3. Portugal 4. Argentine 5. Belgique 6. Espagne 7. Pologne 8. Suisse 9. France 10. Chili Y. ADC

Subvention aux partis politiques: 5 partis sont passés à la caisse de l’Etat

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Ils sont cinq partis et formations politiques à être passés au ministère de l’Administration territoriale et de la Décentralisation (MATD) ce 23 novembre 2017 pour rentrer en possession de leur allocation de la subvention publique. D’un montant total de 500 millions de francs CFA, cette somme leur est accordée pour les activités hors campagne au titre de l’année 2017.    Au regard des résultats des élections législatives du 29 novembre 2015, six (6) partis politiques remplissent les conditions d’allocation de la subvention publique. Finalement ils ne sont que cinq à rentrer en possession des 500 millions de FCFA qui leur sont alloués. En effet, un parti politique notamment l’ADF/RDA pour n’avoir pas déposé à temps son rapport financier ne profitera pas de cette subvention. Ainsi le parti au pouvoir, le MPP reçoit une somme de 227 millions de FCFA. Le parti du lion, l’UPC premier parti de l’opposition empoche 134 millions, 86 500 000 F CFA pour le CDP, le NTD 27 200 000 F CFA et 24 550 000 F CFA pour l’UNIR/PS.
Zambendé Théodore Sawadogo du CDP
Pour Zambendé Théodore Sawadogo trésorier du CDP, « ce fonds est déjà géré, c’est une subvention qui est relative au fonctionnement du parti durant l’année 2017. Nous avons fonctionné sur fonds propres courant 2017 et les pièces serviront de justificatifs. « On nous demande de justifier sur 5 mois, il nous reste deux mois pour rentrer dans l’année 2018 c’est pas en deux mois que nous pourrons justifier ces 86 millions, donc  nous allons nous baser sur toutes les dépenses de l’année 2017 pour pouvoir nous justifier » , a t-il laissé entendre. « C’est vrai que c’est une bouffée d’oxygène mais nous souhaitons que la subvention nous soit accordée selon la réglementation en rigueur. C’est à dire en début d’année au plus tard en mois d’avril afin que nous puissions la justifier le mois de mars de l’année suivante » a conclut Théodore Sawadogo Pour le ministre de l’Administration territoriale et de la Décentralisation Siméon Sawadogo, la remise des chèques aux partis politiques par l’entremise de son département est une volonté et un engagement du gouvernement à promouvoir les mesures de renforcement des partis politiques en vue de leur permettre d’exécuter efficacement les missions constitutionnelles à eux dévolues. Le ministre a par ailleurs rappelé aux bénéficiaires l’impérieuse nécessité d’une gestion rigoureuse, saine et d’un respect scrupuleux des dispositions de la loi portant financement des partis politiques. En effet, selon l’article 14 de la loi portant financement des partis politiques, « cette contribution de l’Etat est accordée à tous les partis ou formations politiques ayant obtenu au moins 3% des suffrages exprimés aux dernières élections législatives. La répartition s’effectue au prorata du nombre de suffrage obtenu. » Y. Alain Didier Compaoré      

Visite d’Emmanuel Macron : la Coordination des CCVC de la Ville de Ouagadougou est sur le qui-vive

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Le président de la CCVC de l'arrondissement de Boulmiougou, Dominique Yaméogo (à d.)
L’annonce de la visite du président français au Burkina Burkina interpelle à plus d’un titre des anti-impérialistes burkinabè. La Coordination des CCVC de la ville de Ouagadougou a organisé une conférence de presse, ce jeudi 23 novembre 2017, pour égrener son chapelet des faits historiques de la « domination impérialiste et néocoloniale française en Afrique et surtout au Burkina Faso » et inviter les populations à sortir pour s’insurger contre cette domination. Rappelant des faits historiques récents qu’a connus le Burkina Faso suite à l’implication « impérialiste française » depuis l’insurrection populaire jusqu’à nos jours, le président de la Coordination de la CCVC de Boulmiougou, Dominique Yaméogo a estimé que le Burkina Faso, loin d’être indépendant, est sous domination de l’impérialisme principalement français. Car, précise-t-il « la situation de néo colonie française dans laquelle se trouve notre pays, explique en grande partie, la souffrance et la misère du peuple Burkinabè, qui doit poursuivre la lutte pour arracher son indépendance véritable, condition incontournable pour amorcer son développement économique et social ». Dominique Yaméogo a indiqué qu’en l’espace d’un demi-siècle, la France est intervenue plus d’une soixantaine de fois dans l’histoire des peuples d’Afrique. Et bon nombre de ces interventions se sont soldées par des coup de force soit pour défendre les pouvoirs en place, soit pour échanger les titulaires. la visite du président Macron vise à  «briser l’élan de luttes des peuples africains » Et comme pour crever l’abcès sur le pillage du Burkina Faso par la France, le président de la Coordination des CCVC de Ouagadougou stipule que le Burkina Faso demeure, sur le plan économique, une véritable vache laitière pour la France, à travers les entreprises françaises qui ne cessent de « piller les ressources du pays et maintenir son rang de première puissance dans l’Union européenne ». Pour s’insurger contre « l’impérialisme français » la visite du président français, Emmanuel Macron au Burkina Faso s’y prêtera. A ce titre, la Coordination des CCVC de Ouagadougou ambitionne prendre part aux journées anti-impérialistes de l’Organisation démocratique de la Jeunesse du Burkina (ODJ) le 2 décembre 2017. Pour l’heure, elle invite les populations de la capitale burkinabè à sortir pour « exprimer au chef de file de l’impérialisme français, que le peuple burkinabè n’est pas d’accord avec la politique impérialiste menée par la France», car la visite du président Macron n’est, ni plus, ni moins qu’une  «exhibition… pour profiter nous donner des leçons de morale et essayer de briser l’élan de luttes des peuples africains », a conclut Dominique Yaméogo. Bènonè Ib Der Bienvenue Médah  

Revue de presse du 23 avril 2017

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JT de 13H du 23 Novembre 2017

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Compte rendu du Conseil des ministres du 22 novembre 2017

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Conseil des ministres du 06 septembre 2017
Le Conseil des ministres s’est tenu à Ouagadougou, le mercredi 22 novembre 2017, en séance ordinaire, de  09 H 30 mn à  14 H 30 mn, sous la présidence de Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, Président du Faso, Président du Conseil des ministres. Il a délibéré sur les dossiers inscrits à son ordre du jour, entendu une communication orale, procédé à des nominations et autorisé des missions à l’étranger.
  1. DELIBERATIONS
I.1. AU TITRE DE LA REFORME DES INSTITUTIONS ET DE LA MODERNISATION DE L’ADMINISTRATION, LE CONSEIL A ADOPTE CINQ (05) RAPPORTS. I.1.1. Pour le compte du ministère de la Sécurité :
  • un rapport relatif aux conclusions du Forum national sur la sécurité.
Placé sous le thème « Garantir la paix et la sécurité pour un développement durable au Burkina Faso : la nécessité d’une réforme du secteur de la sécurité », le Forum national sur la sécurité, tenu du 24 au 26 octobre 2017 à Ouagadougou, a permis de faire un diagnostic de la situation sécuritaire et de formuler des recommandations. Le Conseil a décidé de la mise en place d’un comité interministériel pour l’opérationnalisation des recommandations à travers l’élaboration du référentiel de la sécurité nationale. I.1.2. Pour le compte du ministère des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur :
  • un rapport relatif à deux (02) décrets portant respectivement ouverture d’un consulat honoraire et nomination d’un consul honoraire du Burkina Faso à Rio de Janeiro, République Fédérative du Brésil.
I.1.3. Pour le compte du ministère de l’Administration territoriale et de la décentralisation :
  • un rapport relatif au fichier des partis et formations politiques au Burkina Faso.
A la date du 23 octobre 2017, cent quarante-huit (148) partis et formations politiques ont été légalement reconnus conformément aux dispositions de la loi N°032-2001/AN du 29 novembre  2001 portant Charte des partis et formations politiques. L’opération d’assainissement du fichier des partis et formations politiques, menée courant septembre et octobre 2017, fait ressortir cent six (106) partis et formations politiques en règle vis-à-vis de leurs propres textes statutaires, trente-huit (38) dans une situation irrégulière et quatre (04) partis politiques dont la situation n’est pas complètement élucidée. En cas de non-respect de leurs textes statutaires, les partis et formations politiques s’exposent à des sanctions telles que prévues par les articles 28 et 29 de la Charte des partis et formations politiques. Le Conseil a instruit les ministres en charge du dossier de prendre les dispositions idoines pour l’application des sanctions prévues à cet effet, conformément aux lois et règlements en vigueur. I.1.4. Pour le compte du ministère de l’Economie, des finances et du développement :   
  • un décret portant classement indiciaire des emplois des enseignants-chercheurs, des enseignants hospitalo-universitaires et des chercheurs.
Ce décret est une relecture du décret                                                       N°2017-0494/PRES/PM/MINEFID/MESRSI/MS/MFPTPS du 10 juin 2017 portant classement indiciaire des emplois des enseignants-chercheurs, des enseignants hospitalo-universitaires et des chercheurs. I.1.5. pour le compte du ministère de l’Environnement, de l’économie verte et du changement climatique :
  • un décret portant cadres de pilotage, d’exécution et de concertation du mécanisme de réduction d’émissions dues à la déforestation et à la dégradation des forêts (REDD+) au Burkina Faso.
La REDD+ est un mécanisme international lancé en 2005 dans le cadre de la mise en œuvre de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques. Elle vise à apporter des compensations financières aux pays en développement sur la base de leurs efforts  de réduction des émissions de gaz carbonique, à travers la gestion durable de leurs forêts. L’adoption de ce décret permet à notre pays de satisfaire à ses obligations internationales dans le cadre de la lutte contre le changement climatique.  I.2. AU TITRE DE LA DYNAMISATION DES SECTEURS PORTEURS POUR L’ECONOMIE ET L’EMPLOI, LE CONSEIL A ADOPTE un rapport relatif aux résultats prévisionnels de la campagne agropastorale 2017-2018, pour le compte du ministère de l’Agriculture et des aménagements hydrauliques. La production céréalière prévisionnelle de la campagne agricole 2017-2018 est estimée à 4 552 273 tonnes, en baisse de 0,32% et de 1,01% respectivement par rapport à la campagne agricole précédente et à la moyenne des cinq (05) dernières années. La campagne agricole écoulée a été marquée par des poches de sécheresse, l’arrêt précoce des pluies, les attaques des nuisibles (chenilles légionnaires, oiseaux granivores…). Les productions céréalières prévisionnelles rapportées aux besoins de consommation céréalière font ressortir un déficit brut estimé 72 677 tonnes. Le Conseil a instruit les ministres en charge du dossier de prendre les dispositions nécessaires, de concert avec les partenaires intervenant dans le domaine de la sécurité alimentaire et nutritionnelle, en vue d’apporter une réponse adéquate aux déficits constatés dans les différentes régions. II. COMMUNICATION ORALE II.1. Le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Burkinabè de l’extérieur a fait au Conseil une communication relative à la visite du Président de la République française, Monsieur Emmanuel MACRON, du 27 au 29 novembre 2017 à Ouagadougou. III. NOMINATIONS III.1. NOMINATIONS DANS LES FONCTIONS INDIVIDUELLES
  1. AU TITRE DU PREMIER MINISTERE
  • Monsieur Férona MEDA, Mle 220 673 J, Conseiller des affaires économiques, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Chargé de missions ;
  • Monsieur Tamba OUOBA, Mle 18 481 C, Ingénieur des travaux publics, 1ère classe, 17ème échelon, est nommé Chargé de missions ;
  • Madame Elise OUEDRAOGO, Mle 44 131 U, Conseiller d’administration scolaire et universitaire, 1ère classe, 4ème échelon, est nommée Chargée de missions ;
  • Monsieur Dieudonné TRAORE, Mle 91 350 Z, Ingénieur d’agriculture, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Chargé de missions ;
  • Monsieur Clément BAMBARA, Mle 74 820 D, Ingénieur d’élevage, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Chargé de missions ;
  • Monsieur Louis NIKIEMA, Mle 220 672 W, Conseiller des affaires économiques, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Chargé de missions ;
  • Monsieur Mahaman Salifou LANKOANDE, Mle 85 078 Z, Informaticien, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Chargé de missions ;
  • Monsieur Hakim Tidiane OUATTARA, Mle 251 384 Z, Attaché en études et analyses, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Monsieur Porna Stephane Hervé TRAORE, Mle 255 954 Z, Ingénieur des travaux informatiques, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Monsieur Soutong-Noma Guillaume Aimé RAPADEMNABA, Mle 256 059 H, Ingénieur des travaux informatiques, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Monsieur Sansan Biwété Nilce DA, Mle 216 103 G, Technicien supérieur en informatique, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Madame Maténin TRAORE, Mle 228 685 J, Secrétaire administratif, 1ère classe, 3ème échelon, est nommée Attachée de missions ;
  • Monsieur Som-Yalgado Tahirou NACAMBO, Mle 59 777 Z, Secrétaire administratif, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Madame Halimata OUATTARA/BAMBA, Mle 79 176 C, Assistant en gestion des ressources humaines, est nommée Attachée de missions ;
  • Monsieur Ousmane ZONGO, Mle 247 192 F, Conseiller des affaires économiques, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Monsieur Ibrahima DIONI, Mle 112 408 D, Administrateur des services financiers, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Monsieur Fayshal OUEDRAOGO, Mle 106 121 R, Comptable, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Attaché de missions ;
  • Monsieur Benjamin YAMEOGO, Mle 75 003 M, Conseiller en Gestion des ressources humaines, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Attaché de Missions ;
  • Madame Lydia OUEDRAOGO/KABORE, Mle 216 100 J, Secrétaire de direction, 1ère classe, 3ème échelon, est nommée Attachée de missions.
  1. AU TITRE DU MINISTERE DES AFFAIRES ETRANGERES, DE LA COOPERATION ET DES BURKINABE DE L’EXTERIEUR
  • Monsieur Mamadou COULIBALY, Mle 59 729 K, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 8ème échelon, est nommé Chargé d’études ;
  • Monsieur Dominique KABORE, Mle 97 446 B, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur de la promotion de l’expertise nationale ;
  • Monsieur Sylvain Yamtiguimda YAMEOGO, Mle 104 400 P, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur Afrique ;
  • Monsieur Marcel Marie DAKOURE, Mle 32 462 X, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur du développement de la coopération et du développement institutionnel du Secrétariat permanent de la Commission nationale pour la francophonie ;
  • Madame Basnewende Martine Eliane OUEDRAOGO/GYENGUERE, Mle 104 414 S, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 6ème échelon, est nommée Directrice des Affaires consulaires ;
  • Monsieur Filatieni COULIBALY, Mle 118 863 B, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Chargé d’études ;
  • Monsieur Flavien Imah William NEZIEN, Mle 104 205 P, Conseiller des affaires étrangères, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Secrétaire général de l’Institut national des hautes études internationales (INHEI).
  1. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ECONOMIE, DES FINANCES ET DU DEVELOPPEMENT
  • Madame Guinguibila Delphine SALAMBERE/SAVADOGO, Mle 52 164 B, Inspecteur des impôts, 1ère classe, 9ème échelon, est nommée Conseiller fiscal au Projet Pôle de croissance de Bagré.
  1. AU TITRE DU MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR, DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ET DE L’INNOVATION
  • Monsieur Samdpawinde Macaire OUEDRAOGO, Mle 94 470 B, Professeur titulaire, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Président de l’Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso;
  • Monsieur Tinoaga Laurent OUEDRAOGO, Mle 19 783 M, Enseignant-chercheur, est nommé Président de l’Université de Ouahigouya ;
  • Monsieur Aboubakar Sidiki OUATTARA, Mle 035 674 E, Professeur titulaire de Microbiologie, P1, classe exceptionnelle, est nommé Président de l’Université de Dédougou ;
  • Monsieur Martin LOMPO, Mle 35 685 A, Enseignant-chercheur, Professeur titulaire, catégorie P, 1er échelon, est nommé Président de l’Université de Fada N’gourma ;
  • Monsieur Adama OUEDA, Mle 119 741 A, Maître de conférence, catégorie P, 3ème échelon, est nommé Vice-Président chargé des enseignements et des innovations pédagogiques de l’Université de Ouahigouya ;
  • Monsieur Patrice TOE, Mle 44 092 E, Maître de conférence, grade intermédiaire, 2ème échelon, est nommé Vice-Président chargé des enseignements et de l’innovation pédagogique de l’Université de Dédougou ;
  • Monsieur Nicolas KAGAMBEGA, Mle 59 932 D, Enseignant-chercheur, Maître assistant, catégorie P, 1er échelon, est nommé Vice-Président de l’Université de Fada N’Gourma chargé des enseignements et des innovations pédagogiques ;
  • Monsieur Sibiri SAWADOGO, Mle 98 044 W, Administrateur civil, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Secrétaire général de l’Université Nazi Boni de Bobo-Dioulasso ;
  • Monsieur Hamidou COMPAORE, Mle 91 941 Y, Administrateur civil, 1ère classe, 5ème échelon est nommé Secrétaire général de l’Université de Ouahigouya ;
  • Monsieur Salif TRAORE, Mle 105 208 U, Administrateur civil, 1ère classe, 4ème échelon est nommé Secrétaire général de l’Université de Dédougou ;
  • Monsieur Mohamed DAO, Mle 247 519 C, Administrateur civil, 1ère classe, 2ème échelon est nommé Secrétaire général de l’Université de Fada N’gourma ;
  • Monsieur Youssouf BELEM, Mle 75 736 R, Conseiller d’intendance scolaire et universitaire, 1ère classe, 3ème échelon, est nommé Directeur de l’administration et des finances de l’Université de Ouahigouya ;
  • Monsieur Homaté Ernest NOUFE, Mle 17 662 F, Conseiller d’intendance scolaire et universitaire, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur de l’administration et des finances de l’Université de Dédougou ;
  • Monsieur Lassané KIEMTORE, Mle 40 812 U, Conseiller d’intendance scolaire et universitaire, 1ère classe, 6ème échelon, est nommé Directeur de l’administration et des finances de l’Université de Fada N’Gourma.
  1. AU TITRE DU MINISTERE DE LA SANTE
  • Madame Cyrille Priscille KABORET/OUEDRAOGO, Mle 36 510 H, Administrateur des hôpitaux et des services de santé, 1ère classe, 9ème échelon, est nommée Chargée de missions.
  1. AU TITRE DU MINISTERE DE L’AGRICULTURE, ET DES AMENAGEMENTS HYDRAULIQUES
  • Monsieur Karim KONSEIMBO, Mle 17 698 X, Conseiller d’administration scolaire et universitaire, 1ère classe, 9ème échelon, est nommé Inspecteur technique des services ;
  • Madame Asséto NABALOUM/ILBOUDO, Mle 26 851 W, Ingénieur agronome, 1ère classe, 6ème échelon, est nommée Inspecteur technique des services en remplacement de Madame Jeanne ZONGO/LINGANI ;
  • Madame Raki KIEMA/KOUELA, Mle 31 901 V, Ingénieur en protection des végétaux, 1er grade, 6ème échelon, est nommée Inspecteur technique des services ;
  • Monsieur Yassia KINDO, Mle 245 264 A, Conseiller en études et analyses-Option économiste planificateur, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur de la prospective et de la planification opérationnelle ;
  • Monsieur Yves Gérald BAZIE, Mle 117 520 F, Ingénieur statisticien, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur des statistiques sectorielles ;
  • Monsieur Dieudonné OUEDRAOGO, 25 611 L, Ingénieur agronome, 1ère classe, 7ème échelon, est nommé Directeur de la Protection des végétaux et du conditionnement ;
  • Monsieur Elie SANKARA, Mle 25 137 R, Conseiller d’agriculture, 1ère classe, 8ème échelon, est nommé Directeur du Centre de promotion rurale de Kongoussi ;
  • Monsieur Modou ZEI, Mle 19 217 J, Conseiller FJA, 1ère classe, 8ème échelon, est nommé Directeur du Centre de promotion rurale de Bonam.
  1. AU TITRE DU MINISTERE DE L’EAU ET DE L’ASSAINISSEMENT
  • Monsieur Moustapha CONGO, Mle 36 649 Y, Ingénieur en technologie de l’eau, 1ère Classe, 14ème échelon, est nommé Responsable du « Programme national de gestion intégrée des ressources en eau (PN-GIRE)» cumulativement avec ses fonctions de Secrétaire permanent pour la Gestion intégrée des ressources en eau (SP/GIRE) ;
  • Monsieur André Patindé NONGUIERMA, Mle 21 332 T, Ingénieur du génie rural, 2ème classe, 13ème échelon, est nommé Responsable du « Programme national d’assainissement des eaux usées et excréta (PN-AEUE)», cumulativement avec ses fonctions de Directeur général de l’assainissement ;
  • Monsieur Dofihouyan YE Mle 33 957 Y, 9ème échelon, est nommé Responsable du « Programme national d’approvisionnement en eau potable (PN-AEP)», cumulativement avec ses fonctions de Directeur général de l’eau potable ;
  • Monsieur Bourahima OUEDRAOGO, Mle 76 305 L, Juriste, 1ère classe, 7ème  échelon, est nommé Responsable du « Programme de Pilotage et soutien » cumulativement avec ses fonctions de Directeur général des études et des statistiques sectorielles ;
  • Monsieur Ouigou Patrice GUISSOU, Mle 29 479 W, Ingénieur du génie rural, 17ème échelon, est nommé Responsable du « Programme national des aménagements hydrauliques (PN-AH)» cumulativement avec ses fonctions de Directeur général des infrastructures hydrauliques ;
  • Monsieur Wendinmy F. Régis BINGBOURE, Mle 223 682 D, Ingénieur en génie sanitaire, est nommé Directeur provincial de l’Eau et de l’assainissement des Balé ;
  • Monsieur Séré Khironlalimi Félix SOU, Mle 289 075 W, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’Eau et de l’assainissement du Bazèga ;
  • Monsieur Abdelaziz TRAORE, Mle 255 000 K, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’Eau et de l’assainissement de la Bougouriba ;
  • Monsieur Dramane Sebastien KONCOLE, Mle 254 995 W, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’Eau et de l’assainissement du Ganzourgou ;
  • Monsieur Joël ROAMBA, Mle 315 211 P, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 1er  échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de la Gnagna ;
  • Monsieur Abdoul Aziz KABORE, Mle 289 073 U, Ingénieur des travaux du génie rural, 3ème classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement du Ioba ;
  • Monsieur Mathieu OUEDRAOGO, Mle 314 963 S, Ingénieur des travaux en génie civil, 1ère classe, 1er  échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement du Kénédougou ;
  • Monsieur Wendinkonté Damien KABORE, Mle 322 725 A, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 1er  échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de la Komandjari ;
  • Monsieur Boureima OUEDRAOGO, Mle 263 796 B, Ingénieur en génie rural,  1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de la Kompienga ;
  • Monsieur Banou LAMIEN, Mle 104 756 F, Technicien supérieur d’agriculture, 1ère classe, 5ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement du Kourwéogo ;
  • Monsieur P. Hyacinthe Browson SAMADOULOUGOU, Mle 263 785 E, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de la Kossi ;
  • Monsieur Inoussa SAWADOGO, Mle 314 980 X, Ingénieur des travaux du génie rural, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement du Nahouri ;
  • Madame Faïzatou ROUAMBA, Mle 254 984 R, Ingénieur des travaux du génie rural, 1ère classe, 2ème échelon, est nommée Directrice provincial de l’eau et de l’assainissement du Nayala ;
  • Monsieur Abdoul Salam OUEDRAOGO, Mle 322 728 Y, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de l’Oudalan ;
  • Monsieur Yacouba FOFANA, Mle 315 214 F, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement du Soum ;
  • Monsieur Adama KONATE, Mle 26 980 S, Technicien supérieur de l’hydraulique et de l’équipement rural, 2ème classe, 12ème  échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement du Sourou ;
  • Monsieur Issaka OUEDRAOGO, Mle 254 998 Y, Ingénieur des travaux de l’eau et de l’assainissement, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement de la Tapoa ;
  • Monsieur Wind-yam Antoine SAWADOGO, Mle 315 205 H, Ingénieur du génie rural, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur provincial de l’eau et de l’assainissement du Yagha.
  1. AU TITRE DU MINISTERE DES RESSOURCES ANIMALES ET HALIEUTIQUES
 
  • Monsieur Drissa SALOU, Mle 44 040 N, Ingénieur d’élevage, 1ère classe, 13ème échelon, est nommé Secrétaire général de l’Ecole nationale de l’élevage et de la santé animale (ENESA) ;
  • Monsieur Boukary NANA, Mle 270 951 P, Ingénieur d’élevage, 1ère classe, 1er échelon, est nommé Directeur de la formation initiale  de l’Ecole nationale de l’élevage et de la santé animale (ENESA) ;
  • Monsieur Innocent OUANGO, Mle 35 430 X, Conseiller en gestion des ressources humaines, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur des ressources humaines de l’Ecole nationale de l’élevage et de la santé animale (ENESA).
 
  1. AU TITRE DU MINISTERE DE LA FEMME, DE LA SOLIDARITE NATIONALE ET DE LA FAMILLE
  • Monsieur Karim ZINA, Mle 51 706 J, Administrateur des affaires sociales, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur général de la promotion de la famille et du genre ;
  • Monsieur Lota KOURA, Mle 92 507 V, Inspecteur d’éducation spécialisée, 1ère classe, 4ème échelon, est nommé Directeur général de la Maison de l’enfance André DUPONT de Orodara (MEADO) ;
  • Monsieur Yazouma Alexis DOH, Mle 51 710 J, Inspecteur d’éducation de jeunes enfants, 1ère classe, 2ème échelon, est nommé Directeur provincial de la Femme, de la solidarité nationale et de la famille de la Léraba.
III.2. NOMINATION DANS LES CONSEILS D’ADMINISTRATION Le Conseil a procédé à des nominations d’Administrateurs et d’un Président aux Conseils d’administration :
  • de l’Agence de financement et de promotion des petites et moyennes entreprises (AFP-PME), de la Société nationale burkinabè d’hydrocarbures (SONABHY), de l’Agence de promotion des investissements au Burkina Faso (API-BF) au titre au ministère du Commerce, de l’industrie et de l’artisanat ;
  • du Fonds d’appui à la presse privée (FAPP) au titre du ministère de la Communication et des relations avec le parlement.
La liste de ces nominations sera publiée dans le Journal Officiel du Faso. Le Ministre de la Communication et des Relations avec le Parlement, Porte-parole du gouvernement, Rémis Fulgance DANDJINOU Officier de l’ordre national