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JT de 13h du 23 septembre 2016

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A la tribune des Nations unies, Roch Marc Christian KABORE appelle à « une réforme responsable et équilibrée de l’ONU »

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Le président du Faso, Roch Marc Christian KABORE lors de son allocution devant ses pairs à la Tribune de l'ONU

Le Président du Faso, Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, est intervenu le jeudi 22 septembre 2016 pour la première fois en tant que chef d’Etat, à la tribune des Nations unies dans le cadre de la 71e session de l’Assemblée générale. Dans son discours, le Président KABORE s’est appesanti sur la situation socio-politique du Burkina Faso et a décliné la position de son pays sur les préoccupations mondiales actuelles.

Roch Marc Christian KABORE à la Tribune des Nations unies
Roch Marc Christian KABORE à la Tribune des Nations unies

Pour la première fois depuis son accession à la magistrature suprême, Roch Marc Christian KABORE s’est exprimé à la tribune des Nations unies devant un auditoire composé de chefs d’Etat et de gouvernement, de diplomates issus des quatre coins de la planète et de ses concitoyens venus nombreux pour écouter l’allocution solennelle de leur Président sur les questions majeures de l’heure.
Abordant la situation socio-politique de son pays, Roch Marc Christian KABORE a indiqué que « le Burkina Faso a renoué avec les valeurs cardinales qui fondent la démocratie et l’Etat de droit, après avoir traversé une crise politique profonde, née du déni de certains principes démocratiques élémentaires ».
Il a exprimé sa profonde reconnaissance à l’Organisation des Nations unies et à l’ensemble de la communauté internationale, dont les « soutiens multiformes ont favorisé ce retour définitif à un ordre constitutionnel normal, avec l’organisation de scrutins présidentiel, législatif et local démocratiques, libres et transparents ».
Pour assurer la sécurité et la stabilité de cette jeune démocratie, le Président KABORE a appelé la communauté internationale à « la solidarité agissante en soutien aux efforts propres de l’Etat burkinabè » afin de « consolider les bases d’un véritable développement durable, gage de paix ».
Le chef de l’Etat a aussi abordé la page internationale en égrainant plusieurs préoccupations planétaires.
Ainsi, sur le plan sécuritaire, il a relevé que « le terrorisme international et l’extrémisme violent se sont imposés comme des menaces majeures de notre temps » et cette triste réalité exige selon le Président KABORE, de « renforcer l’action collective et d’intensifier les efforts conjoints dans le cadre de notre Organisation commune ».
Au sujet des déplacements massifs des populations, le chef de l’Etat s’est montré sensible « à ces milliers de migrants et de déplacés qui, chaque jour, risquent leur vie, en quête de lendemains meilleurs, faisant des mers et des océans des tombeaux à ciel ouvert ». D’où son cri de cœur pour « un pacte mondial pour une gestion plus efficace et plus humaine de la question des déplacements massifs des réfugiés et des migrants ».
Au chapitre des changements climatiques, il s’est félicité de « l’adoption de l’Accord de Paris, et a appelé à sa ratification par toutes les parties prenantes ».
D’autres sujets d’importance régionale et internationale ont également été au cœur de l’allocution du Président du Faso. Il s’agit notamment de la situation sécuritaire au Nord Mali, du conflit israélo-palestinien, de la guerre en Syrie, en Irak et au Yémen. Sur toutes ces questions, Roch Marc Christian a décliné la position du Burkina Faso avant d’appeler à « une réforme responsable et équilibrée de l’ONU, pour un ordre international plus juste, plus équitable et plus viable ».

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso

Médias publics : Les travailleurs de l’Information et de la Culture observeront une grève générale de 72 heures à compter du 3 octobre 2016

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Le Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) annonce une grève générale de 72 heures pour compter du 3 octobre 2016. Dans un préavis de grève adressé au président du Faso, Roch Marc Christian KABORE, le syndicat revendique entre autres l’amélioration conséquente des conditions de vie et de travail du personnel des médias publics, du SIG et des DCPM, la reconstitution de carrières des agents de la Communication et de la Culture, le rétablissement des rémunérations injustement coupées depuis 2012, l’arrêt des intimidations et des pressions sur les journalistes. Lisez plutôt!

Le Bureau national du SYNATIC dont le Secrétaire général, Siriki DRAME au milieu
Le Bureau national du SYNATIC dont le Secrétaire général, Siriki DRAME au milieu

Excellence Monsieur le Président du Faso,

Les 1er et 7 septembre 2016, les travailleurs de la RTB, des Editions Sidwaya, du SIG et des DCMP à l’appel du Syndicat autonome des travailleurs de l’information et de la culture (SYNATIC) ont observé respectivement des mots d’ordre de sit-in et de grève pour revendiquer de meilleures conditions de vie et de travail. Depuis, les autorités n’ont manifesté aucune volonté réelle d’examiner nos préoccupations et d’y apporter des solutions appropriées.

Depuis quelques années déjà, les travailleurs des médias publics, mobilisés au sein du Syndicat Autonome des Travailleurs de l’Information et de Culture (SYNATIC) n’ont de cesse d’interpeller les autorités en charge du ministère de la Communication sur les problèmes cruciaux qu’ils vivent au sein des différentes directions.

Suite au sit-in historique du 16 juillet 2013, les autorités du ministère de la Communication ont mis sur pied un ‘‘Comité de suivi des questions Sociales’’ qui a planché sur les différentes préoccupations des travailleurs des médias publics. Notre Syndicat a pris part activement aux travaux dudit comité dont les conclusions ont été validées sous le régime de la Transition, lors d’un atelier tripartite (ayant réuni les ministères en charge des Finances, de la Fonction publique et de la Communication), les 20 et 21 février 2015. Les conclusions qui y sont issues ont suscité beaucoup d’espoir au sein des travailleurs.

Mais force est de constater que depuis l’adoption des lois sur la presse le 4 novembre 2015, faisant des organes de presse publique des sociétés d’Etat et les instructions prises en Conseil des ministres le 25 novembre 2015 pour le règlement de la situation des agents de la Fonction publique, qui n’ont pas pu progresser dans leur carrière du fait de l’absence de concours professionnels, les travailleurs attendent toujours la satisfaction de leurs préoccupations. Des préoccupations qui portent sur l’amélioration conséquente des conditions de vie et de travail et la reconstitution de carrière des agents. A cela s’ajoute la remise en cause des acquis de l’Insurrection populaire au niveau des médias publics.

Le SYNATIC est au regret de constater que les réponses apportées à nos doléances par les nouvelles autorités en charge du ministère de la Communication, à ce jour, sont en deçà des attentes des travailleurs. Aucune mesure concrète n’a été mise en œuvre concernant les points majeurs de la plateforme. Les réponses données par les autorités sont vagues et sans échéances précises. C’est encore le cas pour la dernière correspondance reçue du ministre de la Communication le 5 septembre 2016.

A ce jour, le délai d’un an prévu dans les dispositions transitoires des lois sur la presse pour leur mise en œuvre a expiré. Au regard de l’insatisfaction et du manque de volonté réelle constatées jusque-là dans la résolution de leurs préoccupations, les travailleurs des médias publics (RTB, Sidwaya), du SIG et des DCPM, mobilisés au sein du SYNATIC, décident d’observer une grève générale de soixante-douze heures (72h) pour compter du 03 octobre à partir de minuit pour exiger :

I. L’amélioration conséquente des conditions de vie et de travail du personnel des médias publics du SIG et des DCPM ;

- La prise des décrets d’application de la loi pour le passage des EPE de la communication en société d’Etat dans les meilleurs délais avec comme date de prise d’effet le 1er janvier 2016.
-  L’adoption du décret portant SIG en tenant compte des préoccupations réelles des travailleurs
En attendant la mise en œuvre de la société d’Etat, le SYNATIC fait les propositions suivantes :
-  L’élaboration d’une nouvelle grille salariale pour le personnel des médias publics et du SIG
-  L’harmonisation et la revue à la hausse du montant de l’indemnité de code vestimentaire au taux de 200000 FCFA. Elle devra être servie à tous les journalistes et assimilés quel que soit leur lieu d’affectation ;
-  L’octroi d’une indemnité de risque au taux de 150000 FCFA à tous les travailleurs des médias publics et du SIG
-  L’octroi d’une prime de panier de 100000 FCFA aux travailleurs des médias publics et du SIG
-  Une augmentation de 100000 FCFA sur chaque indemnité déjà servie (Indemnité d’astreinte, indemnité de technicité, indemnité de logement)
-  La dotation des organes publics (RTB et Editions Sidwaya) en infrastructures et équipements modernes

II. La reconstitution de carrières des agents de la Communication et de la Culture :
-  Le reclassement des agents bloqués en B1, A2, et A3 depuis 2004 et une compensation pour ceux qui sont décédés ainsi que pour ceux qui ont été admis à la retraite ;
-  La résolution définitive de la question des compensations de cotisations à la CNSS et à la CARFO pour les agents contractuels de la RTB et des Editions Sidwaya afin de leur assurer au moins une retraite proportionnelle ainsi qu’une compensation pour ceux qui sont décédés et ceux qui sont admis à la retraite ;

-  La finalisation et la mise en œuvre du plan de carrière pour permettre aux contractuels des Editions Sidwaya et de la RTB de passer les concours professionnels ;
-  La matérialisation effective du recrutement des pigistes résiduels à la RTB.

III. Le rétablissement des rémunérations injustement coupées depuis 2012 : frais de production, primes RFI, frais de pylônes, frais de verres correcteurs,…

IV. L’arrêt des intimidations et des pressions de tout genre sur les journalistes dans le traitement de l’information dans le strict respect des règles d’éthique et de déontologie

A Ouagadougou, une marche pacifique, en direction du premier ministère, sera organisée le premier jour de grève.

Si à l’issue de ces actions des solutions satisfaisantes ne sont pas trouvées, le SYNATIC se réserve le droit d’engager des luttes multiformes pour faire aboutir ses justes et légitimes revendications.

Veuillez agréer, Excellence Monsieur le Président du Faso, l’expression de notre parfaite considération.

Pour le Bureau National
Le Secrétaire Général

Siriki DRAME

Roch Marc Christian KABORE lauréat du Prix « Médaille d’honneur du leadership africain pour la paix et le développement »

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Le Magazine African Leadership a organisé le jeudi 22 septembre 2016 à New York en marge de la 71e session de l’Assemblée générale de l’ONU, le Forum du Leadership africain sur le thème : « Le leadership au-delà des bonnes intentions : apporter un développement et une croissance durables en Afrique ». Le Président du Faso, Son Excellence Monsieur Roch Marc Christian KABORE, principal orateur de la rencontre, a été distingué à l’occasion.

roch-recevant-la-distinction

Le Forum de Leadership africain est une plateforme pour discuter des questions clés pour permettre une croissance durable capable d’entraîner des transformations.
Les dirigeants du monde des affaires, le milieu universitaire et la société civile ainsi que les décideurs du secteur public et privé ont eu l’occasion de discuter et d’en apprendre davantage sur certains des défis cruciaux qui se posent à travers le contient ainsi que des études de cas des stratégies novatrices pour accélérer la croissance durable en Afrique.
A l’occasion de ce forum, le Président Roch Marc Christian KABORE a, en sa qualité d’orateur principal, livré un discours sur sa vision du leadership et exposé la situation socio-politique du Burkina Faso.
A l’entame de son allocution, Roch Marc Christian KABORE a décliné à l’assistance, sa compréhension du leadership qu’il définit comme étant « la capacité ou l’art d’influencer de façon positive des membres d’une organisation ou des populations, de sorte à ce qu’ils exécutent avec enthousiasme des tâches qu’ils n’auraient pas effectuées sans cette influence ».
Partant, le Président du Faso a indiqué que « l’Afrique a besoin de se remettre en cause, d’assurer la reconversion de son élite pour la mettre au service exclusif des intérêts des populations africaines ».
« Fort heureusement, a-t-il poursuivi, depuis ces deux dernières décennies, sans doute aussi à cause du renouveau démocratique sur le continent, l’émergence d’une nouvelle génération de dirigeants bien formés et profondément patriotes, a permis de faire bouger les lignes dans la bonne direction ».
Sur la situation de son pays, le Président KABORE a lancé « un appel à la solidarité internationale pour accompagner le Burkina Faso et les Etats de la bande sahélo-saharienne à relever le défi de la paix, de la sécurité, de la stabilité et du progrès économique et social ».
En raison de la transparence et de l’incontestabilité du processus électoral qui l’a conduit à la magistrature suprême, Roch Marc Christian KABORE a été fait lauréat du Prix « Médaille d’honneur du leadership africain pour la paix et le développement ».

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso

JT de 20h du 22 septembre 2016

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JT de 19h du 22 septembre 2016

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Kinshasa répond à Hollande : la RDC n’est pas un « département d’outre-mer » français

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Le gouvernement congolais s’est dit « choqué » ce jeudi par les propos du président français François Hollande, qui a accusé les autorités de la République démocratique du Congo d’ « exactions » contre le peuple lors des violences de lundi et mardi à Kinshasa.

François Hollande « s’est permis de tirer à boulets rouges » sur le gouvernement congolais, a déclaré Lambert MENDE. « Comme à l’accoutumée, nous avons eu droit à des injonctions comminatoires, a poursuivi le porte-parole du gouvernement congolais. « C’est à se demander si la RDC est devenue un nouveau département d’outre-mer issu de nouvelles conquêtes de l’Hexagone. »

Lambert MENDE a estimé que François Hollande avait fait preuve d’une compassion sélective vis-à-vis des victimes des violences de lundi et mardi. « Le président français, a-t-il ajouté, n’a retenu que l’incendie d’un parti d’opposition, passant sous silence les incendies de partis de la majorité et les victimes des émeutiers ».

« Des exactions venant de l’État congolais lui-même »

Le porte-parole réagissait aux propos tenus mardi par le président français en marge de l’assemblée générale des Nations Unies à New York. François Hollande avait dénoncé des violences « insupportables » avant d’ajouter :  ce qui est incontestable, c’est qu’il y a des victimes et qu’elles ont été provoquées par des exactions venant de l’État congolais lui-même ».

Source: Jeune Afrique

La CEDEAO s’engage à réduire les arriérées de paiement des primes des troupes burkinabè sur les théâtres de maintien de la paix

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Le président du Faso, recevant le présient de la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Monsieur Marcel Alain de SOUZA

Présent à New York dans le cadre de la 71e session de l’Assemblée générale de l’ONU, le président de la Commission de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), Monsieur Marcel Alain de SOUZA a été reçu en audience, le mercredi 21 septembre 2016 par le Président du Faso. Monsieur de SOUZA était accompagné d’entrepreneurs israéliens spécialisés dans la purification des eaux usées issues des industries minières.


A sa sortie d’audience, Monsieur Marcel Alain de SOUZA a confié à la presse être venu faire avec Roch Marc Christian KABORE, « le tour d’horizon des relations entre la CEDEAO et le Burkina Faso ».


A cette occasion, le président de la Commission de la CEDEAO a remercié le chef de l’Etat, et à travers lui tout le peuple burkinabè pour « l’appui en troupes aussi bien au Mali qu’en Guinée-Bissau. Je lui ai dit qu’incessamment, nous allons trouver les moyens pour réduire les arriérées que nous devons au Burkina Faso aussi bien en ce qui concerne le transfert des troupes que le matériel militaire et tout ce qui est dû également aux différentes primes pour les différentes troupes ».


Monsieur Marcel Alain de SOUZA a aussi relevé que le Président KABORE s’est montré soucieux de la pollution de l’environnement par les déchets chimiques provenant des industries minières dans son pays. C’est pour cette raison que nous avons parlé d’un sujet très important : il s’agit de la « purification de l’eau. La région était en contact avec Israël depuis plus de dix ans. Nous avons été informés qu’il y a des techniques uniques dans le monde qui se développent pour purifier l’eau qui provient des mines d’or.

Beaucoup de cyanure et de mercure provenant de l’extraction industrielle de l’or fait que les animaux meurent en buvant l’eau, les enfants également et parfois même la nappe phréatique est affectée. Cette contamination était déjà faite au Ghana et cette société travaille ardemment dans ce pays. Nous avons pu contacter le Ghana qui a dit que ça donne de très bons résultats pour que la nappe phréatique et les fleuves ne soient pas contaminés. Donc, la société est venue présenter sa technique et le Président lui a donné rendez-vous au Burkina pour avoir une séance de travail avec le ministre de l’Environnement et le ministre des Mines. Ils iront par la suite voir comment ça se passe au Ghana et revenir mettre le système au point pour qu’on purifie l’eau pour préserver la santé de la population », a conclu Monsieur Marcel Alain de SOUZA.

La Direction de la Communication de la Présidence du Faso