FILEP 2017: un concours pour récompenser les meilleures œuvres en photos et caricatures
COMMUNIQUE
Le Centre National de Presse Norbert ZONGO (CNP-NZ) a le plaisir de porter à la connaissance de tous les photographes, caricaturistes et dessinateurs de presse professionnels (travaillant dans un organe de presse ou Freelance) qu’il organise dans le cadre du Festival International de la Liberté d’Expression et de presse (FILEP) qui se tiendra du 8 au 11 novembre 2017 à Ouagadougou, un concours pour récompenser les meilleures œuvres en photo, caricature et dessin de presse.
A cet effet, il invite les photographes, caricaturistes et dessinateurs de presse à proposer des œuvres sur le thème : « Défis sécuritaires en Afrique : rôle et responsabilité des médias ! ».
Chaque photographe et caricaturiste ou dessinateur est invité à déposer trois (03) œuvres au maximum, au format 24X30. Il est demandé aux photographes de joindre à chaque œuvre un court texte explicatif.
Les œuvres devront parvenir au Centre National de Presse Norbert ZONGO, sis à Petit Paris, au plus tard le mercredi 25 Octobre 2017.
Pour tout renseignement, veuillez contacter le Centre National de Presse Norbert ZONGO au 25 34 41 89 ou 25 34 37 45 ou par e-mail : cnpress@cnpress-zongo.org, micailou@yahoo.fr.
Pour le CNP/NZ,
Le Président du Comité de Pilotage,
Jean Claude MEDA
Soum : une école primaire incendiée par des assaillants
Une vingtaine d’assaillants ont incendié ce jeudi, l’école primaire publique de Tem dans la commune de Nassoumbou, après avoir semé la panique dans le village, a appris l’AIB de sources concordantes.
Des individus couplés sur dix motos ont fait irruption le jeudi 19 octobre 2017 à Tem, village situé à une dizaine de km de la commune de Nassoumbou (45km de Djibo).
Les populations effrayées par les coups de fusils, ont pris la fuite. Les assaillants sont allés incendier l’école primaire publique, composée de quatre classes construites en ciment et deux en banco.
Après leur forfait, un autre groupe d’au moins dix assaillants sur cinq motos, ont rejoint le premier groupe et ils ont convergé ensemble vers le territoire malien.
Les attaques terroristes au nord du Burkina se sont intensifiées ces dernières semaines, avec des assauts quasi quotidiens.
Cette situation inquiète particulièrement les acteurs de l’éducation, pris en partie il y a quelques mois par des terroristes opposés à l’enseignement classique.
Lire l’article sur aib.bf
Les CDAIP remontés contre la « libération » de Djibril Bassolé
COORDINATION DES COMITES DE DEFENSE ET D’APPROFONDISSEMENT DES ACQUIS DE L’INSURRECTION POPULAIRE (CDAIP) DE LA VILLE DE OUAGADOUGOU
Appel à la résistance et à la lutte pour le jugement des assassins du peuple ! Que les complices des terroristes restent en prison !
Dans la nuit du mardi 10 octobre 2017, les patriotes, les progressistes et les révolutionnaires de notre pays ont appris avec indignation la mise en liberté provisoire de Djibril BASSOLE par le tribunal militaire, acte qui n’est rien d’autre qu’une énième remise en cause des acquis et attentes de l’Insurrection et de la Résistance victorieuse réalisées par notre peuple. Progressistes et révolutionnaires, jeunesse populaire de la ville de Ouagadougou, La libération de Djibril Bassolé montre que notre Etat totalement failli, dont fait partie le système judiciaire, est incapable et ne veut pas aller dans le sens de la soif de justice de notre peuple, qui a tant souffert du système de gouvernance néocolonial et criminel de la IVème République. Et cela pour deux principales raisons :- Le système judiciaire en place est celui conçu par les bourgeois (civils et militaires) sous Blaise Compaoré pour se protéger en écrasant les gens du peuple. On ne peut donc pas s’attendre à ce que cette justice juge les dignitaires du pouvoir de Blaise Compaoré. C’est ce à quoi nous avions assisté avec la Haute Cour de justice qui s’est révélée être un instrument de diversion judiciaire du peuple. Et c’est le même scénario qui nous attend avec la justice militaire que les avocats des généraux Bassolé et Diendéré veulent casser !
- Le pouvoir actuel a refusé d’aller dans le sens de la volonté populaire qui est de créer des tribunaux spéciaux pour juger les crimes commis lors de l’Insurrection et de la Résistance qui sont manifestement des crimes politiques, à l’image de ceux commis par Hissène Habré au Tchad et les Nazis pendant la deuxième guerre mondiale. Et cela parce que ceux que le peuple veut juger sont, en réalité, des amis de ceux qui sont actuellement au pouvoir !
- L’annulation de la liberté provisoire accordée à Djibril Bassolé ;
- Le retour en prison de tous ceux qui ont été libérés au mépris de la justice ;
- La création de tribunaux spéciaux pour juger les dignitaires du pouvoir de la IVème République pour leurs crimes de sang et crimes économiques.



















