JT de 19H du 27 mars 2019

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JT de 13H du 27 mars 2019

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Lutte contre le terrorisme : la Chair Sahel donne des pistes pour une sortie de crise

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La représentante du Ministre en charge de l’Economie et des Finances, Pauline Zouré a ouvert les travaux de la Chair Sahel, ce 25 mars 2019, à Ouagadougou. Cet atelier, qui regroupe les experts des pays du G5 Sahel plus la Côte d’Ivoire, a pour objectif d’analyser les flux financiers à savoir les ressources financières promises par les bailleurs de fonds aux Etats membres du groupe en vue de lutter « efficacement » contre le terrorisme.
Considéré comme un espace de réflexion sur le financement dans la lutte contre le terrorisme dans les pays du G5 Sahel, la Chair Sahel s’est engagée à être le creuset de réflexions et de pensées plurielles nourri par les réalités et les expériences du terrain .
Pour son Directeur, Tertius Zongo, « la Chair Sahel est une structure indépendante qui s’est résolu à suivre de très près les flux financiers octroyés aux pays bénéficiaires et s’assurer de la mise en œuvre des actions de développement sur le terrain».
La ministre Pauline Zouré, représentante du ministre en charge de l’Economie et des Finances, dès l’entame de son allocution, a salué la tenue de cet atelier qui vient à point nommé dans la mesure où le Burkina Faso, depuis le 5 février 2019, assure la présidence du G5 Sahel sous le magistère du Président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré.
A ce titre, elle a indiqué que le Burkina Faso fera de son possible pour apporter son soutien à cette structure en vue de la conforter dans son rôle de conseil aux différents pays membres du G5 Sahel, pour peu qu’elle puisse faire des propositions concrètes de sorte à permettre aux Etats membres du G5 d’endiguer au plus vite la question du terrorisme dans la sous-région.
Tertius Zongo à son tour a rassuré que les recommandations issues de ces travaux seront  mises à la disposition des Etats membres du G5 pour « renforcer l’impact sur les populations et dans les secteurs d’activités ciblées que sont l’éducation, le développement rural, la santé et la gouvernance ».
Bènonè Ib Der Bienvenue Médah

ISTIC: c’est parti pour les mémoires de fin de cycle

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Le bal des soutenances pour l’obtention du diplôme de conseiller en STIC a été ouvert ce mardi 26 mars par  Mamadou Ba. L‘élève conseiller a porté ses recherches sur l’Analyse du processus d’exploitation des productions journalistiques de la RTB2 Fada N’Gourma par la Rédaction de la RTB/Télé. » Un exposé qui a été sanctionné par la note de 17/20 par le jury. « Analyse du processus d’exploitation des productions journalistiques de la RTB2 Fada N’Gourma par la Rédaction de la RTB/Télé », tel est le thème de la soutenance de fin de cycle de l’élève Mamadou Ba pour l’obtention du diplôme de conseiller en Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication (STIC). Une étude centrée sur le processus d’exploitation des productions de la RTB2 Fada N’Gourma dans le traitement de l’information à la Rédaction de la RTB/Télé. « Notre étude nous a permis de découvrir quelques insuffisances dans le fonctionnement de la Rédaction nationale et de celle de la RTB2 Fada N’Gourma. Nous avons noté par exemple à la RTB/Télé, l’inexistence d’un média manager, responsable du pilotage à bon escient des flux entrants et sortants du serveur, et aiguilleur des reportages dignes d’intérêt général vers les éditions concernées. C’est un profil très important et incontournable dans une chaîne de télévision organisée en réseau » a souligné l’impétrant. Après un décorticage du travail de Mamadou Ba par le jury présidé par Adama BARRO et assisté de Jean Emmanuel Ouédraogo, c’est la note de 17/20 qui lui a été décernée. Il avait pour directeur de mémoire Yacouba Traoré, l »ancien directeur général de la RTB. Pendant ce temps dans une autre salle de l’Institut des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication, l’élève conseiller Adama Sedogo s’interrogeait sur la survie de l’Agence d’information du Burkina (AIB) à l’ère des réseaux sociaux. Il s’inquiète de la rentabilité du média rendue difficile à cause de l’accès gratuit de l’information sur internet. «Les réseaux sociaux et l’Agence d’information du Burkina (AIB) constituent aujourd’hui, deux grossistes de l’information. Mais pendant que l’un offre ses services gratuitement, l’autre a besoin de commissions pour survivre», a déclaré mardi, Adama Sedogo, pendant la présentation de son mémoire : «les défis de l’AIB à l’ère des réseaux sociaux». Pour lui, le choix de l’AIB comme objet d’étude est fondé sur l’importance de cette structure que l’on qualifie de média des médias dans le traitement et la diffusion de l’information au Burkina. Pour l’impétrant, l’AIB ne peut pas concurrencer avec les réseaux sociaux dans la diffusion de contenus qu’ils soient vrais ou faux. C’est pourquoi, il recommande à l’AIB  de travailler «à fournir des informations, vérifiables afin d’être un certificateur de l’information». Car, «loin de constituer une menace, les réseaux sociaux constituent une opportunité pour l’Agence de se faire connaître et de faire connaître ses produits», a assuré Adama Sedogo. Tout comme son collègue Ba, c’est la note de 17/20 qui a sanctionné le travail du conseiller Sedogo. Y. Alain Didier Compaoré

JT de 20h du 26 mars 2019

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JT de 19h du 26 mars 2019

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