Ça tourne du 13 Novembre 2016

0

Toulouse : dragué par le Burkina Faso, Lafont dévoile ses ambitions pour l’avenir

0
Devenu incontournable à Toulouse, le portier Alban Lafont fait partie de la génération montante dans le football français. Ses performances ont suscité l’intérêt de nombreux clubs européens, mais pas que. Le Violet sait de son côté ce qu’il veut pour son avenir.
Alban Lafont - 28.11.2015 - Toulouse / Nice - 15eme journee de Ligue 1 Photo : Manuel Blondeau / Icon Sport
Alban Lafont – 28.11.2015 – Toulouse / Nice – 15eme journee de Ligue 1
Photo : Manuel Blondeau / Icon Sport
Il y a encore un an, Alban Lafont (17 ans) était méconnu du public en France. Aligné pour la première fois de sa carrière en Ligue 1 le 28 novembre 2015 contre Nice (2-0), le jeune portier n’a depuis plus jamais quitté le but des Violets, heureux de compter sur un des joueurs les plus prometteurs à son poste. Forcément, ses prestations sont surveillées sur le Vieux Continent alors que le FC Barcelone ou encore Arsenal se sont déjà manifestés. Mais le Pitchoune sait ce qu’il veut pour son avenir. Lafont reconnaissant mais ambitieux Conscient de ses qualités, Lafont n’a pas caché son envie de rejoindre une grosse cylindrée à moyen terme. «J’aimerais jouer plus tard dans un club cinq étoiles. Mais je garde les pieds sur terre. Quand on ne pense qu’à l’argent, on est moins performant sur le terrain», a lancé le Violet dans les colonnes du JDD. «Je garde mes objectifs en tête. Je sais où je veux aller et ça passe par le TFC. Il n’y a pas beaucoup d’autres clubs qui auraient donné sa chance à un gardien de mon âge. Je veux donc être reconnaissant», a rappelé le Toulousain, sous contrat jusqu’en juin 2020, qui va devoir faire un autre choix dans les prochaines semaines.
Alban LAFONT belle détente ici
Alban LAFONT belle détente ici
Le Burkina veut le récupérer ! La publication hebdomadaire nous informe ce dimanche que la fédération burkinabè de football souhaiterait convaincre Lafont d’opter pour son pays natal dans l’optique de la CAN 2017. Qualifiés pour la compétition continentale, les Étalons sont également bien partis dans les éliminatoires de la Coupe du monde 2018. Né à Ouagadougou, Lafont défend pour le moment les couleurs de l’équipe de France U18. Acceptera-t-il ces avances ou choisira-t-il les Bleus, où la concurrence sera bien plus féroce ? Un choix déterminant au début d’une carrière prometteuse… – Source: Maxifoot, http://www.maxifoot.fr/football/article-30489.htm#footref

Football: Issa HAYIATOU félicite Sita SANGARE pour sa réélection

0
Sita Sangaré se succède à lui-même pour 4 ans
Le président de la confédération africaine de football, Issa Hayiatou, par lettre en date du 13 novembre 2016, a adressé au président Sita Sangaré nouvellement réélu à la tête de la fédération burkinabé de football pour un mandat de 4 ans, ses vives félicitations. Il lui assure son plein soutien et celui  de la CAF pour une bonne gestion de la structure nationale et pour un développement effectif du football burkinabé avec l’ensemble des acteurs concernés par la discipline. Microsoft Word - Lettre CAF Pres Burkina Faso FA - felicitations

Attaques à mains armées à Djibo : 2 morts et une vingtaine de personnes arrêtées

0
Des hommes armés ont perpétré des attaques dans la nuit du samedi 12 au dimanche 13 novembre 2016 à Djibo dans le Soum. Le bilan fait état de 2 morts, une vingtaine de personnes arrêtées par les forces de l’ordre.      

Affaire Sankara : La France doit accepter la levée du secret défense sans tarder !

0
28 ans après Thomas SANKARA et les siens attendent toujours que justice soit faite
Le juge d’instruction burkinabè François Yaméogo chargé de l’enquête sur l’assassinat de Thomas Sankara vient de lancer une commission rogatoire pour demander la levée du secret défense en France. Après deux ans d’enquêtes, François Yaméogo a auditionné une centaine de personnes, en a inculpé près d’une quinzaine. Son sérieux et son intégrité ne peuvent être mis en doute. Cette demande ne doit pas être prise à la légère, comme l’a été la demande d’enquête parlementaire(1), demandée par des députés burkinabè, et déposée par les députés écologistes et ceux du Front de gauche à l’Assemblée nationale en Octobre 2012. Claude Bartolone, président de l’Assemblée Nationale, avait alors répondu « une telle commission d’enquête n’aurait aucun pouvoir pour conduire des investigations dans un autre Etat » et « la procédure judiciaire désormais ouverte au Burkina » lui semble « l’instrument juridique le plus approprié pour rechercher les responsables de cette affaire »(2). Cet « instrument juridique le plus approprié » est désormais disponible. Cette fois ce ne sont pas des militants qui « fantasment », comme l’avait dit l’ancien ambassadeur de France au Burkina, M. Gilles Thibault, mais bien un juge d’instruction via une procédure judiciaire officielle qui questionne la France et lui demande de prendre ses responsabilités concernant l’implication française dans l’assassinat de Thomas Sankara. Nous appelons donc tous les organisations françaises et étrangères, organisation des droits de l’homme, partis politiques, associations de la société civile, soucieuses de justice, à faire pression sur le gouvernement français pour que soit satisfaite la demande du juge burkinabè. Nous demandons aux députés de l’Assemblée nationale, d’interpeller de nouveau le président de l’Assemblée nationale pour qu’il reconsidère sa position et accepte la demande d’enquête parlementaire sur l’assassinat de Thomas Sankara, comme l’ont déjà demandé plus de 5500 personnes(3). Le réseau international « Justice pour Sankara justice pour l’Afrique » Fait à Paris, Ouagadougou, Bruxelles, Milan, Bamako, Madrid, Niamey, Berlin, Toronto, Marseille, Ajaccio, Montpellier, Liège le 11 Novembre 2016. Contact : info@thomassankara.net 1. Voir http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion0248.asp 2. Voir http://thomassankara.net/le-president-de-lassemblee-nationale-francaise-claude-bartolone-soppose-a-louverture-dune-commission-denquete-parlementaire-sur-lassassinat-de-thomas-sankara/ 3. 4500 signataires à http://thomassankara.net/petition-louverture-dune-enquete-parlementaire-parlement-francais-conditions-de-lassassinat-president-thomas-sankara-de-compagnons-4469/

Football: Laurent POKOU de l’ASEC Mimosas n’est plus

0
L’attaquant emblématique ivoirien Laurent POKOU est décédée ce 13 novembre 2016 à l’âge de 69ans. En rappelle c’est le seul attaquant qui a pu marquer 14 buts dans deux CAN et 5 buts lors d’un seul match de CAN.   laurent-pokou « Le Président du Conseil d’Administration de l’ASEC Mimosas, Maître Roger OUEGNIN, a la profonde douleur d’annoncer à la grande famille mimosas et à tous les sportifs ivoiriens, le décès de Laurent POKOU, ancien joueur emblématique et entraîneur de l’ASEC Mimosas . Le décès est survenu ce dimanche 13 novembre à Abidjan. Que tous ceux qui ont connu et aimé Laurent POKOU prient pour le repos de son âme. Maître Roger OUEGUIN, Président du Conseil d’Administration de l’ASEC Mimosas. »

COP22 : coulisses des négociations avec les OSC

0
Les chefs d’Etat sont attendus ce lundi à Marrakech pour entrer dans la phase dure des négociations et tenter de s’accorder sur de nouvelles dispositions qui marqueront un pas supplémentaire dans la suite des accords de Paris. Mais avant cette phase diplomatique, les délégations de chaque pays préparent, dans l’ombre depuis plus d’une semaine, l’ensemble des textes et des arguments à défendre. A côté d’eux, des membres d’OSC.  Notre reporter sur place à Marrakech a suivi dans les coulisses des négociations, la participation de deux OSC Burkinabè à la COP22. Nous sommes à l’entrée de la salle Boulaya, une des 10 salles de conférences dans l’espace réservée à la société civile. Roukiatou Ouédraogo est assise, ordinateur portable sur les genoux, ses yeux passent de son écran vers ceux de ses deux téléphones mobiles. Des piles de documents à ses pieds. Le stress crispe son visage. Faire vite. « On m’attend » dit-elle. Roukiatou  est membre d’une OSC burkinabè. Elle court de salle en salle, d’événement en événement. Rencontres, projections, animation de tables rondes. « Rokia, on nous attend !» Aboubacar Lougué passe la tête pour interpeller sa collègue. Il représente la Coordination nationale des jeunes pour l’environnement et le climat. Il revient de la salle 19, où se tenait une conférence sur l’introduction du changement climatique dans les programmes scolaires. 32%55187_eco_16-12-2015_p08-1.qxpEn pressant le pas pour rejoindre leur délégation, ils nous expliquent leur rôle durant la COP22. Il ne s’agit pas seulement de représenter leurs organisations et leurs ONGs. Ils sont également conseillers auprès des délégations politiques qui ont en charge de défendre les positions de leurs pays au cours des 10 jours de négociations. (Envoyé spécial à Marrakech, partenariat Fondation Hirondelle)