Télécoms en Afrique : développeurs et innovateurs justifient à Ouagadougou l’intérêt d’investir dans le secteur

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Le salon Africa Global Telecoms Business Meetings a ouvert ses portes ce jeudi 24 novembre 2016 à Ouagadougou. Trois jours durant, les professionnels des TIC venus d’Afrique, d’Amérique, d’Asie et d’Europe vont s’entretenir sur l’intérêt d’investir dans les télécoms en Afrique. dsc08858Les télécommunications jouent de nos jours un rôle transversal dans toutes les activités humaines. Ainsi, de nombreuses applications dans des domaines tels, la téléphonie, la télévision, la santé, l’éducation, les finances, la sécurité, les voyages, les mobiles money, correspondent au mode de vie des Africains. Ce qui constitue un nouveau relais de croissance dans tous les secteurs d’activité. C’est pourquoi le Salon professionnel Africa Global Telecoms Business Meetings se veut la plateforme d’échanges sur les enjeux majeurs des TIC entre les professionnels avec pour thème:  » Investir dans les télécoms en Afrique, quels intérêts? ». Ce salon offre trois jours durant aux professionnels, équipementiers, constructeurs, investisseurs, développeurs, financiers, acteurs du monde des télécommunications et consommateurs l’opportunité de rencontres, de partages d’expériences. Il permet également de réfléchir aux voies et moyens pour l’essor des TIC en Afrique mais aussi de faire des affaires et des rencontres B2B. Plusieurs thèmes seront développer au cours de ces trois jours. Il s’agit entre autres de l’harmonisation de la tarification du roaming dans l’espace CEDEAO, de l’intégration des systèmes pour un meilleur développement du mobile money dans l’espace CEDEAO. D’autres panels comme l’utilisation du Fonds de service universel en Afrique, la cybercriminalité et la sécurisation des sites web des services publiques et privés seront également abordés.
Péma Bamouni PCO
Péma Bamouni PCO
Pour le président du comité d’organisation Péma BAMOUNI, ce salon qui se veut annuel donne une opportunité à l’Afrique et au monde d’unir leurs forces et nouer des partenariats commerciaux, financiers, stratégiques et technologiques afin d’améliorer leur compétitivité. Pour lui, l’Afrique en général et l’Afrique de l’Ouest en particulier est aujourd’hui la meilleure destination pour investir dans les télécoms et les nouvelles technologies.
Alassani Ouédraogo DIRCAB du ministère en chage du Développment de l'Economie numérique
Alassani Ouédraogo DIRCAB du ministère en charge du Développent de l’Economie numérique
Et pour cela il peut compter sur le soutien du gouvernement Burkinabè à travers le ministre en charge de Développement de l’Economie numérique, représenté par son directeur de cabinet, Alassani OUEDRAOGO. Pour ce dernier, « l’ambition du gouvernement est que, à défaut d’être à la pointe, que nous ne soyons pas en marge du développement des TIC dans la sous-région ».
Dr Isaïas Barreto DA ROSA commissaire de de la CEDEAO chargé des TICs
Dr Isaïs Barreto DA ROSA commissaire de de la CEDEAO chargé des TICs
Le commissaire de la CEDEAO en charge des TIC Dr Isaïs Barreto DA ROSA a lui également loué l’initiative qui selon lui permet aux acteurs de se rencontrer, de se parler et de partager les expériences. « L’avènement des TIC permet à l’Afrique de rattraper son retard sur bien de domaines de développent« , soutient Dr Isaïs Barreto DA ROSA. C’est pourquoi dit-il, « la CEDEAO soutient et encourage l’inter-connectivité régionale et internationale », a conclut le commissaire. Y. Alain Didier COMAPORE    

JT de 13H du 24 novembre 2016

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Classement FIFA de novembre 2016: le Burkina se classe 7e en Afrique et 50e mondial

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Le Burkina a fait un saut de 9 place en avant dans le classement FIFA du mois de novembre 2016. De la 16 place en octobre 2016, le Burkina occupe désormais la 7e place en Afrique et est 50e au plan mondial. Le match nul contre les Sud Africain à Ouagadougou et la victoire contre les Requins Bleus du Cap Vert à Praia y sont pour quelque chose dans ce grand bond. Dans ce classement le Sénégal détrône la Côte d’Ivoire sur le toit africain.
Les Etalons sont désormais 7e pays africain et 50 au monde dans le domaine du football
Les Etalons sont désormais 7e pays africain et 50 au monde dans le domaine du football
Le top 20 africain 1. SENEGAL (33e) 2. Côte d’Ivoire (34e) 3. Tunisie (34e) 4. Egypte (36e) 5. Algérie (38e) 6. RDC (47e) 7. Burkina Faso (50e) 8. Nigeria (50e) 9. Ghana (53e) 10. Maroc (57e) 11. Afrique du Sud (60e) 12. Mali (61e) 13. Cameroun (65e) 14. Bénin (66e) 15. Guinée-Bissau (68e) 16. Congo (70e) 17. Guinée (71e) 18. Ouganda (73e) 19. Cap Vert (80e) 20. Libye (86e) Le top 10 mondial 1. Argentine 2. Brésil 3. Allemagne 4. Chili 5. Belgique 6. Colombie 7. France 8. Portugal 9. Uruguay 10. Espagne Y. Alain Didier COMPAORE

Communiqué TIC à Kaya du 11 décembre

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Pour la participation à l’évènement TIC A KAYA DU 11 DECEMBRE Nous avons 2 catégories : Catégorie : Personne Physique Il s’agit des personnes qui souhaitent assister à l’évènement, participer aux activités, faire des rencontres et échanger avec les participants ou les autorités. cette catégorie ne paye pas de frais, mais elle s’inscrit et prend en charge toutes les frais (déplacement, hébergement, restauration) Néamoins, la personne bénéficie de la couverture de TIC A KAYA DU 11 DECEMBRE par la remise d’un badge et de la documentation pour être considérer comme INVITE OFFICIELLE à l’évènement. Catégorie : Entreprise il s’agit des entreprise qui souhaite participer aux activités et mener des activités commerciale et de publicité. cette catégorie engage des frais: 30.000 Fcfa (15.000 / jour) pour l’inscription et ils prennent en charge le déplacement et l’hébergement. la réservation de l’hébergement peut être effectué par le Comité d’organisation a la demande de l’entreprise. la restauration est couverte par l’inscription NB: il est demander a toutes les structures souhaitant prendre part à l’évènement et souhaitant que le Comité d’Organisation fasse des réservation pour l’hébergement de bien vouloir se manifester au plus tard le 01 décembre. la date limite d’inscription étant toujours fixé au 7 décembre Cordialement Sylvie COULIBALY La trésorière

Grève du SYNTSHA : l’ordre des médecins interpelle le gouvernement et le SYNTSHA

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Chers confrères et chères consœurs, Chers collaborateurs et collaboratrices des professions médicales, paramédicales et pharmaceutiques, Le conseil national de l’ordre des médecins du Burkina Faso en tant qu’organe régulateur de l’exercice de la profession médicale, des questions éthiques et déontologiques y relatives, observe avec désolation l’interruption des soins en raison de l’absence de service minimum dans la présente grève lancée par le SYNTSHA. Cette situation met à rude épreuve la déontologie et l’éthique professionnelle. Tout en reconnaissant le droit constitutionnel et sans concession à la grève et la pertinence de la plateforme revendicative du SYNTSHA, le conseil national de l’ordre des médecins ne saurait rester dans le silence face aux conséquences désastreuses de l’absence totale de soins. Aussi, le conseil national de l’ordre interpelle les différents protagonistes (gouvernement et syndicat) à privilégier le dialogue et la concertation pour trouver des solutions qui préservent la santé des populations et qui permettent d’assurer la continuité des soins. Ces solutions nécessairement dégagées grâce au dialogue entre syndicat et gouvernement, sont urgentissimes pour la présente grève, et vitales pour l’avenir de tout le système de santé au Burina Faso. Les conséquences de l’arrêt des soins sont catastrophiques et peuvent être irrémédiables ! C’est pour cela que le conseil national de l’ordre des médecins formule le plaidoyer auprès de chaque protagoniste pour mettre dans la balance, et à tout instant, le respect de la vie, de la personne humaine et de sa dignité. Ces éléments constituent en toutes circonstances le devoir primordial du soignant. De ce fait, le Conseil national de l’ordre des médecins du Burkina Faso, demande au SYNTSHA, la reconversion de la grève sans service minimum en une grève avec service minimum tenant compte de nos serments. Nous demandons au Gouvernement d’examiner avec la plus haute attention la plateforme revendicative du SYNTSHA afin de permettre aux acteurs de la santé de donner des soins de qualité aux populations dans de bonnes conditions de travail conformément au code de déontologie. Pour le Bureau National de l’Ordre des Médecins du Burkina Faso, Le Président, Pr Ag Ali NIAKARA